je garde espoir

roby a écrit:

Je garde espoir

le vent ne fait que geindre
au creux de mon coeur
il descend
au fin fond de mon corps.
une dure et féroce tristesse
me dépouille avec allégresse,
me met aux supplices
de mes nuits froides sans amours.
l'espoir décroît
comme un soleil fatigué
qui s'en va dans la paresse,
me laissant moi
dans l'obscurité de mon humeur.
j'espère quand même
qu'une petite lune se lève,
me remettant sur le chemin des amants
pour redécouvrir le goût du printemps.

Garder espoir
Pas un choix
Une obligation
Pour avancer

gepetto a écrit:Roby, la lune de miel,
au ciel,
a une face cachée.
Mais si haut qu'elle soit perchée,
Elle finira bien
par se retourner...

bien à toi et merci pour ces vers

Les deux faces de la lune
C'est poétiquement dit
Un côté que l'on voit
Quand l'autre est aux abois
Et vice et versa
Merci.
Encore une fois, j'adore...

roby a écrit:

Je garde espoir

le vent ne fait que geindre
au creux de mon coeur
il descend
au fin fond de mon corps.
une dure et féroce tristesse
me dépouille avec allégresse,
me met aux supplices
de mes nuits froides sans amours.
l'espoir décroît
comme un soleil fatigué
qui s'en va dans la paresse,
me laissant moi
dans l'obscurité de mon humeur.
j'espère quand même
qu'une petite lune se lève,
me remettant sur le chemin des amants
pour redécouvrir le goût du printemps.

Vive l'espoir ce soleil infatigable de nous. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Roby, la lune de miel,
au ciel,
a une face cachée.
Mais si haut qu'elle soit perchée,
Elle finira bien
par se retourner...

bien à toi et merci pour ces vers

roby a écrit:Merci béa la misse des mots.
J'aime ta façon de lire entre les lignes

Je m'y emploie du mieux que je peux quand j'aime ce que je lis et qu'en lisant je ressens ... alors voilà, tu exprimes bien par écrit ce que ton coeur subit...

Merci béa la misse des mots.
J'aime ta façon de lire entre les lignes

roby a écrit:

Je garde espoir

le vent ne fait que geindre
au creux de mon coeur
il descend
au fin fond de mon corps.
une dure et féroce tristesse
me dépouille avec allégresse,
me met aux supplices
de mes nuits froides sans amours.
l'espoir décroît
comme un soleil fatigué
qui s'en va dans la paresse,
me laissant moi
dans l'obscurité de mon humeur.
j'espere quand même
qu'une petite la lune se lève,
me remettant sur le chemin des amants
pour redécouvrir le gout du printemps.

Ton espoir, après lecture de ce poème, réside dans le fait qu'à un soleil fatigué le soir renaîtra un soleil vigoureux le lendemain matin...
Car un soleil, même paresseux, se lèvera forcément à la fin de cette nuit froide et noire de désespoir.
J'espère que la nuit ne sera pas trop longue pour toi et tes sentiments à l'abandon.
Bizzoo
Béa