UN DEPART SANS ADIEU…
4 participants
Page 1 sur 1
Re: UN DEPART SANS ADIEU…
Les vers sont des symboles
Représentant les pensées,
Ultime tentative de dire une le sentiment
Grandissant dans le cœur en peine.
Représentant les pensées,
Ultime tentative de dire une le sentiment
Grandissant dans le cœur en peine.
davidof- Nombre de messages : 2697
loisirs : pêche, voyage, music...
Date d'inscription : 21/05/2008
Re: UN DEPART SANS ADIEU…
"Si toute vie va inéluctablement vers la fin, il faut, tant qu'elle se déroule, la peindre d'amour et d'espoir."
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
Re: UN DEPART SANS ADIEU…
Bonsoir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
...Il suffit de jeter un regard, non par dessus son épaule, mais
de faire un demi tour, fixer un point quelque part. Sur son
entourage, au sein de sa famille pour " vivre quoiqu'un instant "
ces départs précépités des personnes qu'on aime. La vie est
ainsi faîte. Souvent je rappelle à quelques amis, lors du passage
d'une dépouille, que notre vie n'est même pas un atome par rapport
au temps. Même les étoiles filantes peuvent mourir, s'éteindre,
juste lors d'un laps de temps dans un ciel d'été.
Mes amitiés de l'autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
...Il suffit de jeter un regard, non par dessus son épaule, mais
de faire un demi tour, fixer un point quelque part. Sur son
entourage, au sein de sa famille pour " vivre quoiqu'un instant "
ces départs précépités des personnes qu'on aime. La vie est
ainsi faîte. Souvent je rappelle à quelques amis, lors du passage
d'une dépouille, que notre vie n'est même pas un atome par rapport
au temps. Même les étoiles filantes peuvent mourir, s'éteindre,
juste lors d'un laps de temps dans un ciel d'été.
Mes amitiés de l'autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Re: UN DEPART SANS ADIEU…
partager la doulour fait du bien au coeur kacem, merci pour la lecture.kacem_loubay a écrit:UN DEPART SANS ADIEU…
…Je rame dans l’océan des pleurs
Des larmes confondues avec l’aube
Et j’ai couru avec les premières lueurs
Puis-je parvenir pour le voir
Lui fermer les yeux
Et entendre son dernier serment…
Il se fait tard
La route est longue et escarpée
Pas besoin de pousser davantage
La force culminante de la ruée
Il est déjà trop tard
La mort ne peut attendre
Quand on est seul dans un hôtel
Seul avec un corps sans vie
Seul dans une chambre sans lumière
Loin de la famille et des amis…
Que pourront faire les pleurs
Les larmes peuvent couler
Arroser les visages
Irriguer la terre
Mais ne parviendront jamais
A faire cligner le fond des prunelles…
Que pourront faire les gémissements
Même en faisant appel à des bourrasques
Demander la puissance des orages
Acclamer la foudre du ciel
Frayer le chemin à un volcan
Permettre à la lave de descendre de son lit
Mais pour prier le cœur de battre
De supplier les yeux de s’entrouvrir
La langue de prononcer un seul mot
L’âme est déjà très loin
Elle ne peut en aucun cas
Exaucer le moindre vœu…
Il suffit de quelques pelletées
La poussière retourne à son origine
Le corps revient à sa nuit
Au lieu d’une matrice
C’est un simple trou qui l’accueille
Et les autres après des prières, des cris
Chacun recueillera quelques lambeaux de mémoire
Il était encore très jeune
Mais la mort ne fait pas de distinction…
A présent il gît dans son linceul blanc
Les yeux fermés à jamais
Le tout s’en va les pleurs étouffés
Sur la pierre tombale
Juste un nom et des dates
Né pour mourir
Drôle et dure cette vie…
kacem loubay
Samedi 20 Mai 2006
Khénifra – Maroc
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le poète de l’autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
" La vie ressemble à un conte ; ce qui importe, ce n'est pas sa longueur, mais sa valeur. "
Sénèque
nisrine nacer- Nombre de messages : 1044
Date d'inscription : 09/09/2008
UN DEPART SANS ADIEU…
UN DEPART SANS ADIEU…
…Je rame dans l’océan des pleurs
Des larmes confondues avec l’aube
Et j’ai couru avec les premières lueurs
Puis-je parvenir pour le voir
Lui fermer les yeux
Et entendre son dernier serment…
Il se fait tard
La route est longue et escarpée
Pas besoin de pousser davantage
La force culminante de la ruée
Il est déjà trop tard
La mort ne peut attendre
Quand on est seul dans un hôtel
Seul avec un corps sans vie
Seul dans une chambre sans lumière
Loin de la famille et des amis…
Que pourront faire les pleurs
Les larmes peuvent couler
Arroser les visages
Irriguer la terre
Mais ne parviendront jamais
A faire cligner le fond des prunelles…
Que pourront faire les gémissements
Même en faisant appel à des bourrasques
Demander la puissance des orages
Acclamer la foudre du ciel
Frayer le chemin à un volcan
Permettre à la lave de descendre de son lit
Mais pour prier le cœur de battre
De supplier les yeux de s’entrouvrir
La langue de prononcer un seul mot
L’âme est déjà très loin
Elle ne peut en aucun cas
Exaucer le moindre vœu…
Il suffit de quelques pelletées
La poussière retourne à son origine
Le corps revient à sa nuit
Au lieu d’une matrice
C’est un simple trou qui l’accueille
Et les autres après des prières, des cris
Chacun recueillera quelques lambeaux de mémoire
Il était encore très jeune
Mais la mort ne fait pas de distinction…
A présent il gît dans son linceul blanc
Les yeux fermés à jamais
Le tout s’en va les pleurs étouffés
Sur la pierre tombale
Juste un nom et des dates
Né pour mourir
Drôle et dure cette vie…
kacem loubay
Samedi 20 Mai 2006
Khénifra – Maroc
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le poète de l’autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
…Je rame dans l’océan des pleurs
Des larmes confondues avec l’aube
Et j’ai couru avec les premières lueurs
Puis-je parvenir pour le voir
Lui fermer les yeux
Et entendre son dernier serment…
Il se fait tard
La route est longue et escarpée
Pas besoin de pousser davantage
La force culminante de la ruée
Il est déjà trop tard
La mort ne peut attendre
Quand on est seul dans un hôtel
Seul avec un corps sans vie
Seul dans une chambre sans lumière
Loin de la famille et des amis…
Que pourront faire les pleurs
Les larmes peuvent couler
Arroser les visages
Irriguer la terre
Mais ne parviendront jamais
A faire cligner le fond des prunelles…
Que pourront faire les gémissements
Même en faisant appel à des bourrasques
Demander la puissance des orages
Acclamer la foudre du ciel
Frayer le chemin à un volcan
Permettre à la lave de descendre de son lit
Mais pour prier le cœur de battre
De supplier les yeux de s’entrouvrir
La langue de prononcer un seul mot
L’âme est déjà très loin
Elle ne peut en aucun cas
Exaucer le moindre vœu…
Il suffit de quelques pelletées
La poussière retourne à son origine
Le corps revient à sa nuit
Au lieu d’une matrice
C’est un simple trou qui l’accueille
Et les autres après des prières, des cris
Chacun recueillera quelques lambeaux de mémoire
Il était encore très jeune
Mais la mort ne fait pas de distinction…
A présent il gît dans son linceul blanc
Les yeux fermés à jamais
Le tout s’en va les pleurs étouffés
Sur la pierre tombale
Juste un nom et des dates
Né pour mourir
Drôle et dure cette vie…
kacem loubay
Samedi 20 Mai 2006
Khénifra – Maroc
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Le poète de l’autre rive
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Sujets similaires
» On agit sans mensonges et sans agressivité
» Le départ
» DEPART
» poèmes mer
» Que le départ de tes glaces me ravit !
» Le départ
» DEPART
» poèmes mer
» Que le départ de tes glaces me ravit !
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum