Locataire du bonheur...

miss Béa a écrit:Désolée de répondre ainsi, mais j'ai peur du bonheur, j'ai trop souffert... oups, pardon, je parle trop.
Bisous, Béa

miss Béa a écrit:Personne n'est propriétaire du bonheur ;
Parfois, on a la chance d'avoir un bail
On en est locataire par désir ou par honneur
(Et si toutefois c'était une "erreur"
On appellerait celà un hasard d'attirance
Ou tout autrement un "leurre" de circonstance)
Par conséquent, il faut garder un oeil ouvert sur son portail,
Faire attention aux courants d'air et aux bourrasques,
Garder les deux pieds chacun dans sa basque.
Il nous faut également être très régulier
Quant aux paiements à terme de ses loyers
Car à tout moment, dans les nombreux couloirs de la vie
On peut se faire exproprier, mis dehors, hors jeu, partie finie !


Tout le monde a peur du quotidien, la réalité,
Comme s'il ne s'agissait que d'une fatalité
Alors qu'en fait, c'est elle qui crée la complicité ;
Cependant, il faut simplement penser à lui ajouter
Une touche de surprise, de rêve ou d'inattendu,
Un petit quelque chose que l'on a oublié depuis l'enfance,
Le bonheur et le plaisir des choses simples :
Pour un paysage, un bruit, une voix, on s'émerveille,
On maintient naturellement ses cinq sens en éveil
Et on découvre un monde riche
Tant au niveau humain que matériel
Où les sensations jamais ne trichent
Et où les sentiments ont goût de miel.
Suivez la route du coeur
Celle qui n'est pas fléchée
Qui va du rire aux pleurs
Selon l'itinéraire choisi ou imposé


Voilà toute la complexité du réel et de l'irréel :
Le concret du règlement, de la loi à suivre
Et l'abstrait du coeur qui part à la dérive...

miss Béa a écrit:Personne n'est propriétaire du bonheur ;
Parfois, on a la chance d'avoir un bail
On en est locataire par désir ou par honneur
(Et si toutefois c'était une "erreur"
On appellerait celà un hasard d'attirance
Ou tout autrement un "leurre" de circonstance)
Par conséquent, il faut garder un oeil ouvert sur son portail,
Faire attention aux courants d'air et aux bourrasques,
Garder les deux pieds chacun dans sa basque.
Il nous faut également être très régulier
Quant aux paiements à terme de ses loyers
Car à tout moment, dans les nombreux couloirs de la vie
On peut se faire exproprier, mis dehors, hors jeu, partie finie !


Tout le monde a peur du quotidien, la réalité,
Comme s'il ne s'agissait que d'une fatalité
Alors qu'en fait, c'est elle qui crée la complicité ;
Cependant, il faut simplement penser à lui ajouter
Une touche de surprise, de rêve ou d'inattendu,
Un petit quelque chose que l'on a oublié depuis l'enfance,
Le bonheur et le plaisir des choses simples :
Pour un paysage, un bruit, une voix, on s'émerveille,
On maintient naturellement ses cinq sens en éveil
Et on découvre un monde riche
Tant au niveau humain que matériel
Où les sensations jamais ne trichent
Et où les sentiments ont goût de miel.
Suivez la route du coeur
Celle qui n'est pas fléchée
Qui va du rire aux pleurs
Selon l'itinéraire choisi ou imposé


Voilà toute la complexité du réel et de l'irréel :
Le concret du règlement, de la loi à suivre
Et l'abstrait du coeur qui part à la dérive...

au fil des mots a écrit:Ce week end , le forum d'aziza sera désert, nous serons tous chez nos libraires ... ou en train de lire.

Merci les cops pour vos tuyaux!

Rita-kazem a écrit:

miss Béa a écrit:Personne n'est propriétaire du bonheur ;
Parfois, on a la chance d'avoir un bail
On en est locataire par désir ou par honneur
(Et si toutefois c'était une "erreur"
On appellerait celà un hasard d'attirance
Ou tout autrement un "leurre" de circonstance)
Par conséquent, il faut garder un oeil ouvert sur son portail,
Faire attention aux courants d'air et aux bourrasques,
Garder les deux pieds chacun dans sa basque.
Il nous faut également être très régulier
Quant aux paiements à terme de ses loyers
Car à tout moment, dans les nombreux couloirs de la vie
On peut se faire exproprier, mis dehors, hors jeu, partie finie !


Tout le monde a peur du quotidien, la réalité,
Comme s'il ne s'agissait que d'une fatalité
Alors qu'en fait, c'est elle qui crée la complicité ;
Cependant, il faut simplement penser à lui ajouter
Une touche de surprise, de rêve ou d'inattendu,
Un petit quelque chose que l'on a oublié depuis l'enfance,
Le bonheur et le plaisir des choses simples :
Pour un paysage, un bruit, une voix, on s'émerveille,
On maintient naturellement ses cinq sens en éveil
Et on découvre un monde riche
Tant au niveau humain que matériel
Où les sensations jamais ne trichent
Et où les sentiments ont goût de miel.
Suivez la route du coeur
Celle qui n'est pas fléchée
Qui va du rire aux pleurs
Selon l'itinéraire choisi ou imposé


Voilà toute la complexité du réel et de l'irréel :
Le concret du règlement, de la loi à suivre
Et l'abstrait du coeur qui part à la dérive...

j'aime ce texte sur la complexité dite bonheur

Dad Allaoua a écrit:Bonsoir Béa
dans ce joli poème, beaucoup de philosophie
aborder ce sujet est très important, nous cherchons tous le bonheur, il est diffèrent pour chaque personne.
Le bonheur est dans le goût et non pas dans les choses ; on est heureux lorsque on a ce qu'on aime et non d'avoir ce que les autres trouvent aimable.
citation:
Comme la plus heureuse personne du monde est celle à qui peu de choses suffit, les grands et les ambitieux sont en ce point les plus misérables qu'il leur faut l'assemblage d'une infinité de biens pour les rendre heureux.

Bonne soirée
Amicalement
Allaoua

nadia ibrahimi a écrit:

miss Béa a écrit:Personne n'est propriétaire du bonheur ;
Parfois, on a la chance d'avoir un bail
On en est locataire par désir ou par honneur
(Et si toutefois c'était une "erreur"
On appellerait celà un hasard d'attirance
Ou tout autrement un "leurre" de circonstance)
Par conséquent, il faut garder un oeil ouvert sur son portail,
Faire attention aux courants d'air et aux bourrasques,
Garder les deux pieds chacun dans sa basque.
Il nous faut également être très régulier
Quant aux paiements à terme de ses loyers
Car à tout moment, dans les nombreux couloirs de la vie
On peut se faire exproprier, mis dehors, hors jeu, partie finie !


Tout le monde a peur du quotidien, la réalité,
Comme s'il ne s'agissait que d'une fatalité
Alors qu'en fait, c'est elle qui crée la complicité ;
Cependant, il faut simplement penser à lui ajouter
Une touche de surprise, de rêve ou d'inattendu,
Un petit quelque chose que l'on a oublié depuis l'enfance,
Le bonheur et le plaisir des choses simples :
Pour un paysage, un bruit, une voix, on s'émerveille,
On maintient naturellement ses cinq sens en éveil
Et on découvre un monde riche
Tant au niveau humain que matériel
Où les sensations jamais ne trichent
Et où les sentiments ont goût de miel.
Suivez la route du coeur
Celle qui n'est pas fléchée
Qui va du rire aux pleurs
Selon l'itinéraire choisi ou imposé


Voilà toute la complexité du réel et de l'irréel :
Le concret du règlement, de la loi à suivre
Et l'abstrait du coeur qui part à la dérive...

Dans le jardin du bonheur on est que de passage jamais résident!!!
très beau texte béa, j'aime bien tes sujets [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

BIR TAM TAM a écrit:Bonsoir chère Béa,
J'aime ce sujet profond...
Ce désir brulant perdu dans le champs de mines qui est: LA PEUR!!!
Bonne soirée et merci pour ce partage.
Amitiés
BTT