La solitude...

miss Béa a écrit:Vivre seul c'est très dur
Comme s'il existait un mur
Invisible et pourtant si présent
Devant lequel on est impuissant
Et contre lequel rebondissent nos pensées
Comme un ping-pong tout seul, c'est insensé !
On prend la balle au premier rebond
On se pose des questions et on y répond
On devient philosophe par la force des choses
Et l'on croit que son cerveau explose
Et c'est l'instant de grande détresse
Où souvent les larmes apparaissent
Elles circulent doucement sur le visage
Est-ce un bon ou un mauvais présage ?
Ces petites gouttes que nos yeux secrètent
Qui brillent dans une lumière discrète
Elles sont peut-être le reflet de l'âme
Pour nous dire :"Stop, tu t'égares,
Reprends le dessus, bats-toi et bagarre,
Tu verras, tout va s'arranger,
La vie c'est comme l'art
C'est beau et c'est inébranlable
C'est personnel et indéfinissable
Et pourtant si intouchable, que nullement altérable".
Et on fait cent fois le tour de sa vie
Le jour le jour n'est plus qu'une survie
Il faut se forger des espoirs, un avenir quoi !
Une joie de vivre sans "pourquoi ?"
De ce moment-là les larmes s'étouffent
Et c'est le sourire, la joie, la vie quoi !...

ça commence par une solitide et fini par le sourire et la joie
donc la vie reprend ses droits!
c'est joliment écrit tout ce ressenti et tu as raison: se forger des espoirs et des rêves fait avancer et empêche la dérive.

miss Béa a écrit:Vivre seul c'est très dur
Comme s'il existait un mur
Invisible et pourtant si présent
Devant lequel on est impuissant
Et contre lequel rebondissent nos pensées
Comme un ping-pong tout seul, c'est insensé !
On prend la balle au premier rebond
On se pose des questions et on y répond
On devient philosophe par la force des choses
Et l'on croit que son cerveau explose
Et c'est l'instant de grande détresse
Où souvent les larmes apparaissent
Elles circulent doucement sur le visage
Est-ce un bon ou un mauvais présage ?
Ces petites gouttes que nos yeux secrètent
Qui brillent dans une lumière discrète
Elles sont peut-être le reflet de l'âme
Pour nous dire :"Stop, tu t'égares,
Reprends le dessus, bats-toi et bagarre,
Tu verras, tout va s'arranger,
La vie c'est comme l'art
C'est beau et c'est inébranlable
C'est personnel et indéfinissable
Et pourtant si intouchable, que nullement altérable".
Et on fait cent fois le tour de sa vie
Le jour le jour n'est plus qu'une survie
Il faut se forger des espoirs, un avenir quoi !
Une joie de vivre sans "pourquoi ?"
De ce moment-là les larmes s'étouffent
Et c'est le sourire, la joie, la vie quoi !...

miss Béa a écrit:Vivre seul c'est très dur
Comme s'il existait un mur
Invisible et pourtant si présent
Devant lequel on est impuissant
Et contre lequel rebondissent nos pensées
Comme un ping-pong tout seul, c'est insensé !
On prend la balle au premier rebond
On se pose des questions et on y répond
On devient philosophe par la force des choses
Et l'on croit que son cerveau explose
Et c'est l'instant de grande détresse
Où souvent les larmes apparaissent
Elles circulent doucement sur le visage
Est-ce un bon ou un mauvais présage ?
Ces petites gouttes que nos yeux secrètent
Qui brillent dans une lumière discrète
Elles sont peut-être le reflet de l'âme
Pour nous dire :"Stop, tu t'égares,
Reprends le dessus, bats-toi et bagarre,
Tu verras, tout va s'arranger,
La vie c'est comme l'art
C'est beau et c'est inébranlable
C'est personnel et indéfinissable
Et pourtant si intouchable, que nullement altérable".
Et on fait cent fois le tour de sa vie
Le jour le jour n'est plus qu'une survie
Il faut se forger des espoirs, un avenir quoi !
Une joie de vivre sans "pourquoi ?"
De ce moment-là les larmes s'étouffent
Et c'est le sourire, la joie, la vie quoi !...

miss Béa a écrit:Vivre seul c'est très dur
Comme s'il existait un mur
Invisible et pourtant si présent
Devant lequel on est impuissant
Et contre lequel rebondissent nos pensées
Comme un ping-pong tout seul, c'est insensé !
On prend la balle au premier rebond
On se pose des questions et on y répond
On devient philosophe par la force des choses
Et l'on croit que son cerveau explose
Et c'est l'instant de grande détresse
Où souvent les larmes apparaissent
Elles circulent doucement sur le visage
Est-ce un bon ou un mauvais présage ?
Ces petites gouttes que nos yeux secrètent
Qui brillent dans une lumière discrète
Elles sont peut-être le reflet de l'âme
Pour nous dire :"Stop, tu t'égares,
Reprends le dessus, bats-toi et bagarre,
Tu verras, tout va s'arranger,
La vie c'est comme l'art
C'est beau et c'est inébranlable
C'est personnel et indéfinissable
Et pourtant si intouchable, que nullement altérable".
Et on fait cent fois le tour de sa vie
Le jour le jour n'est plus qu'une survie
Il faut se forger des espoirs, un avenir quoi !
Une joie de vivre sans "pourquoi ?"
De ce moment-là les larmes s'étouffent
Et c'est le sourire, la joie, la vie quoi !...

chadiya madihi a écrit:pour certains la solitude est à vaincre !
mais c'est pas gagné d'avance !
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rychar a écrit:la solitude on n'est pas faits pour ça....ou pas longtemps juste le temps de se ressourcer....
courage.....
amicalement

julien a écrit:Tu sauras te ressourcer
dans ton univers
juste traversé par les souvenirs
juste un peu rafraîchi...par l'espoir

bonne journée béa

BIR TAM TAM a écrit:Solitude, ô l'ennemie de la joie!
J'espère que tout ça n'est que dans le passé ?

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Amitiés
BTT

chayma a écrit:

Admin a écrit:

La solitude, c'est l'indépendance qui présente sa note. !!!
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La vraie sagesse se trouve loin des gens dans la grande solitude.

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Najat a écrit:je comprends.;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
j'aime tes lignes

PrincedeVelours a écrit:La solitude peut apporter de l'inspiration, de la tristesse, de la paix, de la joie...

J'ai aimé lire ce beau poème qui est bien écrit.

Merci de ce merveilleux moment de poésie

Joyeuses fêtes !!!

Mes salutations poétiques
René