Ses ondes soleil

par Heartshiver Jeu 29 Oct - 12:07

flocons en rencontre qu'yeux sans vigiles lancent
à l'apostrophe écho mais me tempèrerais-je
sait-on allez contre cet éclat d'évidence
où les corps archichauds tempêtent de leurs neiges

éclosions lactées place dérive aux songes
globules zizanie estampillant flaneur
la rue enlassée les contemple et allonge
la lumière ravie émoustillant leurs coeurs

Bleu d'automne ciré les cieux au teint glaçant
serpillère l'été visages étrainant
saisons aux pourlêches des amants qui s'enivrent

voie cannelée de chutes en suspend
suturant les brêches des morsures de vivre
l'hiver à l'allée d'un baiser de printemps

courbes oscillantes d'ivresse prolifique
au retentis des airs d'envol intemporel
à l'elle battante caresses mirifiques
l'oeil qui réverbère les feux perpétuels

aucune vérité au milieu des mensonges
prenant pour survie la sudation d'un leurre
jouant sincérité au chemin qui les ronge
l'ombre en nostalgie quand profusent lueurs

la vie sincère se butte à la folie
lueur cheminée dérive qui s'arpente
copie chute d'air quand s'effontent leurs nuits
étoiles shootées dans des courses ardentes

l'espoir n'est pas au fond de son propre trémor
dans l'arc aux sensations mille saisons s'essorent

par kimannzo Jeu 29 Oct - 18:01

...quelle écriture ! bravo ! ta plume enchantera plus d'un amateur de belles poésies .. bien à toi [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

par **cristopher-cris** Ven 30 Oct - 5:47

Heartshiver a écrit:flocons en rencontre qu'yeux sans vigiles lancent
à l'apostrophe écho mais me tempèrerais-je
sait-on allez contre cet éclat d'évidence
où les corps archichauds tempêtent de leurs neiges

éclosions lactées place dérive aux songes
globules zizanie estampillant flâneur
la rue enlacée les contemple et allonge
la lumière ravie émoustillant leurs cœurs

Bleu d'automne ciré les cieux au teint glaçant
serpillère l'été visages égrainant
saisons aux pourlèches des amants qui s'enivrent

voie cannelée de chutes en suspend
suturant les brèches des morsures de vivre
l'hiver à l'allée d'un baiser de printemps

courbes oscillantes d'ivresse prolifique
au retentis des airs d'envol intemporel
à l'elle battante caresses mirifiques
l'œil qui réverbère les feux perpétuels

aucune vérité au milieu des mensonges
prenant pour survie la sudation d'un leurre
jouant sincérité au chemin qui les ronge
l'ombre en nostalgie quand profusent lueurs

la vie sincère se butte à la folie
lueur cheminée dérive qui s'arpente
copie chute d'air quand s'effontent leurs nuits
étoiles shootées dans des courses ardentes

l'espoir n'est pas au fond de son propre trémor
dans l'arc aux sensations mille saisons s'essorent

Saisons originales sous sous plume créatrice.
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par marie la rebelle Ven 30 Oct - 6:17

pour le titre: saisons? ça te plait?
tes vers me plaisent avec ou sans titre [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

par rayane Ven 30 Oct - 8:49

humeur grise ? ou juste un passage sous l'orage qui se plie en demi rage entre les lignes?
de toute façon c'est une belle lecture au premier contacte avec ta plume.j'en suis satisfait!
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par nadia ibrahimi Ven 30 Oct - 13:33

vers-éclat qui donnent belle lecture.

par Heartshiver Sam 31 Oct - 1:02

Merci à vous.
Un tit Pantoum pour la peine.

fais-tu de pailles le feu de ma plume
à chaque orée quand mes mots te croquent
jusqu'aux entrailles d'où nos coeurs s'allument
d'encre braisée d'échos réciproques

à chaque orée quand mes mots te croquent
l'être rebondis de je t'aime en thème
d'encre braisée d'échos réciproques
empage à vie de pulsions idems

l'être rebondis de je t'aime en thème
ricoche et ose troubler le rivage
empage à vie de pulsions idems
rosée éclose sur l'onde aux sillages

ricoche et ose troubler le rivage
je te caresse d'une simple étreinte
rosée éclose sur l'onde aux sillages
la chair en liesse quand tu te sens ceinte

je te caresse d'une simple étreinte
passerelle d'or des premiers rayons
la chair en liesse quand tu te sens ceinte
des clameurs au corps d'amour en friction

passerelle d'or des premiers rayons
jusqu'aux entrailles d'où nos coeurs s'allument
des clameurs au corps d'amour en friction
fais-tu de pailles le feu de ma plume

par roby Sam 31 Oct - 6:01

Heartshiver a écrit:Merci à vous.
Un tit Pantoum pour la peine.

fais-tu de pailles le feu de ma plume
à chaque orée quand mes mots te croquent
jusqu'aux entrailles d'où nos coeurs s'allument
d'encre braisée d'échos réciproques

à chaque orée quand mes mots te croquent
l'être rebondis de je t'aime en thème
d'encre braisée d'échos réciproques
empage à vie de pulsions idems

l'être rebondis de je t'aime en thème
ricoche et ose troubler le rivage
empage à vie de pulsions idems
rosée éclose sur l'onde aux sillages

ricoche et ose troubler le rivage
je te caresse d'une simple étreinte
rosée éclose sur l'onde aux sillages
la chair en liesse quand tu te sens ceinte

je te caresse d'une simple étreinte
passerelle d'or des premiers rayons
la chair en liesse quand tu te sens ceinte
des clameurs au corps d'amour en friction

passerelle d'or des premiers rayons
jusqu'aux entrailles d'où nos coeurs s'allument
des clameurs au corps d'amour en friction
fais-tu de pailles le feu de ma plume

Des vers définis, rythmés. des pauses et des accents intense. on peut scander les vers et les aimer à fond. Beau partage [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

par **sarah** Dim 1 Nov - 7:40

Heartshiver a écrit:flocons en rencontre qu'yeux sans vigiles lancent
à l'apostrophe écho mais me tempèrerais-je
sait-on allez contre cet éclat d'évidence
où les corps archichauds tempêtent de leurs neiges

éclosions lactées place dérive aux songes
globules zizanie estampillant flaneur
la rue enlassée les contemple et allonge
la lumière ravie émoustillant leurs coeurs

Bleu d'automne ciré les cieux au teint glaçant
serpillère l'été visages étrainant
saisons aux pourlêches des amants qui s'enivrent

voie cannelée de chutes en suspend
suturant les brêches des morsures de vivre
l'hiver à l'allée d'un baiser de printemps

courbes oscillantes d'ivresse prolifique
au retentis des airs d'envol intemporel
à l'elle battante caresses mirifiques
l'oeil qui réverbère les feux perpétuels

aucune vérité au milieu des mensonges
prenant pour survie la sudation d'un leurre
jouant sincérité au chemin qui les ronge
l'ombre en nostalgie quand profusent lueurs

la vie sincère se butte à la folie
lueur cheminée dérive qui s'arpente
copie chute d'air quand s'effontent leurs nuits
étoiles shootées dans des courses ardentes

l'espoir n'est pas au fond de son propre trémor
dans l'arc aux sensations mille saisons s'essorent

Vers lactés!Ils cheminent du bout de la plume vers nous en toute clarté pour nous éblouir!

par samuel samhoun Dim 1 Nov - 8:12

BEL ECRIT. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

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Quelle envolée !

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