si demain par hasard

Si demain par hasard
Tu me trouves endormi
Dans ton nid
Couvre-moi de tes ailes,
Douce tourterelle,
Avant que le jour ne se lève
Et vienne dévorer tous tes rêves.
Si demain par hasard
Mon rêve te dépose
Près de mes rimes,
Près de ma prose,
Viens ma tourterelle ;
Toi qui es sublime,
Gracieuse et frêle,
Viens sous ma tente,
Je t’offrirai un thé à la menthe.
Je t’emmènerai remonter
Les chemins qui racontent
La saga de mon naufrage
Au pays des mirages
Où je comptais m’y rendre,
M’égarer, m’oublier ;
Oublier effaré
Les envers, les revers,
Les horreurs de la guerre
Pour enfin te trouver…
Si demain par hasard
Ton rêve me dépose
Un peu loin de ta prose
Viens tourterelle,
Viens prendre dans mon coffre
Un poème que je t’offre,
Un thé à la menthe.
Sous ma tente
Nous irons rêver,
Admirer les beaux rêves,
Les bateaux amarrés,
Les horizons qui dessinent au loin
Le rêve bleu des marins,
Les mouettes
Qui caressent les écumes cendrées
Au dessus de nos têtes…
Si demain par hasard
Trois signes me diront que tu m’aimes
Alors, il faudra que tu viennes,
Douce tourterelle,
Me couvrir de tes ailes
Dans mon lit,
Car à chaque nuit
Et le jour qui suit,
Couronnée, tu seras ma reine,
Ma lune, mon soleil,
Et moi dans mes réveils
J’attends que tu me dises tout bas :
Je suis l’étoile qui t’accompagne
Là où tu vas ;
Par les vallées et les montagnes,
Je suis la nuit de tes noces,
Vaya mi amigo !Vaya con dios ! (*)


(*) Allez mon ami, que Dieu vous accompagne

amadin a écrit:Si demain par hasard
Tu me trouves endormi
Dans ton nid
Couvre-moi de tes ailes,
Douce tourterelle,
Avant que le jour ne se lève
Et vienne dévorer tous tes rêves.
Si demain par hasard
Mon rêve te dépose
Près de mes rimes,
Près de ma prose,
Viens ma tourterelle ;
Toi qui es sublime,
Gracieuse et frêle,
Viens sous ma tente,
Je t’offrirai un thé à la menthe.
Je t’emmènerai remonter
Les chemins qui racontent
La saga de mon naufrage
Au pays des mirages
Où je comptais m’y rendre,
M’égarer, m’oublier ;
Oublier effaré
Les envers, les revers,
Les horreurs de la guerre
Pour enfin te trouver…
Si demain par hasard
Ton rêve me dépose
Un peu loin de ta prose
Viens tourterelle,
Viens prendre dans mon coffre
Un poème que je t’offre,
Un thé à la menthe.
Sous ma tente
Nous irons rêver,
Admirer les beaux rêves,
Les bateaux amarrés,
Les horizons qui dessinent au loin
Le rêve bleu des marins,
Les mouettes
Qui caressent les écumes cendrées
Au dessus de nos têtes…
Si demain par hasard
Trois signes me diront que tu m’aimes
Alors, il faudra que tu viennes,
Douce tourterelle,
Me couvrir de tes ailes
Dans mon lit,
Car à chaque nuit
Et le jour qui suit,
Couronnée, tu seras ma reine,
Ma lune, mon soleil,
Et moi dans mes réveils
J’attends que tu me dises tout bas :
Je suis l’étoile qui t’accompagne
Là où tu vas ;
Par les vallées et les montagnes,
Je suis la nuit de tes noces,
Vaya mi amigo !Vaya con dios ! (*)


(*) Allez mon ami, que Dieu vous accompagne

si demain
tu retrouves mon chemin,
nos vers, main dans la main
iront boire des rimes
sous l'horizon sublime
pour se partager les plumes
surtout ne tarde pas à passer, tu risque de ne pas me trouver
je vais rêver
sous les ombres d'un verger
ou ma muse veut me prouver
que sont souffle n'est pas achevé!
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amadin a écrit:Si demain par hasard
Tu me trouves endormi
Dans ton nid
Couvre-moi de tes ailes,
Douce tourterelle,
Avant que le jour ne se lève
Et vienne dévorer tous tes rêves.
Si demain par hasard
Mon rêve te dépose
Près de mes rimes,
Près de ma prose,
Viens ma tourterelle ;
Toi qui es sublime,
Gracieuse et frêle,
Viens sous ma tente,
Je t’offrirai un thé à la menthe.
Je t’emmènerai remonter
Les chemins qui racontent
La saga de mon naufrage
Au pays des mirages
Où je comptais m’y rendre,
M’égarer, m’oublier ;
Oublier effaré
Les envers, les revers,
Les horreurs de la guerre
Pour enfin te trouver…
Si demain par hasard
Ton rêve me dépose
Un peu loin de ta prose
Viens tourterelle,
Viens prendre dans mon coffre
Un poème que je t’offre,
Un thé à la menthe.
Sous ma tente
Nous irons rêver,
Admirer les beaux rêves,
Les bateaux amarrés,
Les horizons qui dessinent au loin
Le rêve bleu des marins,
Les mouettes
Qui caressent les écumes cendrées
Au dessus de nos têtes…
Si demain par hasard
Trois signes me diront que tu m’aimes
Alors, il faudra que tu viennes,
Douce tourterelle,
Me couvrir de tes ailes
Dans mon lit,
Car à chaque nuit
Et le jour qui suit,
Couronnée, tu seras ma reine,
Ma lune, mon soleil,
Et moi dans mes réveils
J’attends que tu me dises tout bas :
Je suis l’étoile qui t’accompagne
Là où tu vas ;
Par les vallées et les montagnes,
Je suis la nuit de tes noces,
Vaya mi amigo !Vaya con dios ! (*)


(*) Allez mon ami, que Dieu vous accompagne

Forte plume! ça me plait ce style !

[quote="sandrine jillou"]

amadin a écrit:
tu retrouves mon chemin,
nos vers, main dans la main
iront boire des rimes
sous l'horizon sublime
pour se partager les plumes
surtout ne tarde pas à passer, tu risque de ne pas me trouver
je vais rêver
sous les ombres d'un verger
ou ma muse veut me prouver
que sont souffle n'est pas achevé!
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j'ai tardé?
merci de ton passage.

roby a écrit:[quote
Forte plume! ça me plait ce style !

merci du passage

amadin a écrit:Si demain par hasard
Tu me trouves endormi
Dans ton nid
Couvre-moi de tes ailes,
Douce tourterelle,
Avant que le jour ne se lève
Et vienne dévorer tous tes rêves.
Si demain par hasard
Mon rêve te dépose
Près de mes rimes,
Près de ma prose,
Viens ma tourterelle ;
Toi qui es sublime,
Gracieuse et frêle,
Viens sous ma tente,
Je t’offrirai un thé à la menthe.
Je t’emmènerai remonter
Les chemins qui racontent
La saga de mon naufrage
Au pays des mirages
Où je comptais m’y rendre,
M’égarer, m’oublier ;
Oublier effaré
Les envers, les revers,
Les horreurs de la guerre
Pour enfin te trouver…
Si demain par hasard
Ton rêve me dépose
Un peu loin de ta prose
Viens tourterelle,
Viens prendre dans mon coffre
Un poème que je t’offre,
Un thé à la menthe.
Sous ma tente
Nous irons rêver,
Admirer les beaux rêves,
Les bateaux amarrés,
Les horizons qui dessinent au loin
Le rêve bleu des marins,
Les mouettes
Qui caressent les écumes cendrées
Au dessus de nos têtes…
Si demain par hasard
Trois signes me diront que tu m’aimes
Alors, il faudra que tu viennes,
Douce tourterelle,
Me couvrir de tes ailes
Dans mon lit,
Car à chaque nuit
Et le jour qui suit,
Couronnée, tu seras ma reine,
Ma lune, mon soleil,
Et moi dans mes réveils
J’attends que tu me dises tout bas :
Je suis l’étoile qui t’accompagne
Là où tu vas ;
Par les vallées et les montagnes,
Je suis la nuit de tes noces,
Vaya mi amigo !Vaya con dios ! (*)


(*) Allez mon ami, que Dieu vous accompagne

je passe là par hasard, je repasserais volontaire, pour relire ces vers.
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Boire à ta source est un véritable plaisir.
Quelle muse enchantée tu as là !

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firdaws a écrit:

amadin a écrit:

je passe là par hasard, je repasserais volontaire, pour relire ces vers.
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enchanté de tes lectures.
Bonne journée.

Nadia a écrit:Boire à ta source est un véritable plaisir.
Quelle muse enchantée tu as là !

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une muse ne peut être en une seule personne.
Vous voyez ce que je veux dire?
Amitiés

amadin a écrit:

Nadia a écrit:Boire à ta source est un véritable plaisir.
Quelle muse enchantée tu as là !

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une muse ne peut être en une seule personne.
Vous voyez ce que je veux dire?
Amitiés

Oui , en effet . . . je vois !
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amadin a écrit:Si demain par hasard
Tu me trouves endormi
Dans ton nid
Couvre-moi de tes ailes,
Douce tourterelle,
Avant que le jour ne se lève
Et vienne dévorer tous tes rêves.
Si demain par hasard
Mon rêve te dépose
Près de mes rimes,
Près de ma prose,
Viens ma tourterelle ;
Toi qui es sublime,
Gracieuse et frêle,
Viens sous ma tente,
Je t’offrirai un thé à la menthe.
Je t’emmènerai remonter
Les chemins qui racontent
La saga de mon naufrage
Au pays des mirages
Où je comptais m’y rendre,
M’égarer, m’oublier ;
Oublier effaré
Les envers, les revers,
Les horreurs de la guerre
Pour enfin te trouver…
Si demain par hasard
Ton rêve me dépose
Un peu loin de ta prose
Viens tourterelle,
Viens prendre dans mon coffre
Un poème que je t’offre,
Un thé à la menthe.
Sous ma tente
Nous irons rêver,
Admirer les beaux rêves,
Les bateaux amarrés,
Les horizons qui dessinent au loin
Le rêve bleu des marins,
Les mouettes
Qui caressent les écumes cendrées
Au dessus de nos têtes…
Si demain par hasard
Trois signes me diront que tu m’aimes
Alors, il faudra que tu viennes,
Douce tourterelle,
Me couvrir de tes ailes
Dans mon lit,
Car à chaque nuit
Et le jour qui suit,
Couronnée, tu seras ma reine,
Ma lune, mon soleil,
Et moi dans mes réveils
J’attends que tu me dises tout bas :
Je suis l’étoile qui t’accompagne
Là où tu vas ;
Par les vallées et les montagnes,
Je suis la nuit de tes noces,
Vaya mi amigo !Vaya con dios ! (*)


(*) Allez mon ami, que Dieu vous accompagne

Et bien c'est à relire là tout de suite et demain et encor plus tard. C'est une belle lecture proposé à nous..

daniel a écrit:

Et bien c'est à relire là tout de suite et demain et encor plus tard. C'est une belle lecture proposé à nous..[/quote]

merci de tes lectures daniel.

De la belle poèsie à redécouvrir. Bonne journée où que vous soyez poète absent.

amadin a écrit:Si demain par hasard
Tu me trouves endormi
Dans ton nid
Couvre-moi de tes ailes,
Douce tourterelle,
Avant que le jour ne se lève
Et vienne dévorer tous tes rêves.
Si demain par hasard
Mon rêve te dépose
Près de mes rimes,
Près de ma prose,
Viens ma tourterelle ;
Toi qui es sublime,
Gracieuse et frêle,
Viens sous ma tente,
Je t’offrirai un thé à la menthe.
Je t’emmènerai remonter
Les chemins qui racontent
La saga de mon naufrage
Au pays des mirages
Où je comptais m’y rendre,
M’égarer, m’oublier ;
Oublier effaré
Les envers, les revers,
Les horreurs de la guerre
Pour enfin te trouver…
Si demain par hasard
Ton rêve me dépose
Un peu loin de ta prose
Viens tourterelle,
Viens prendre dans mon coffre
Un poème que je t’offre,
Un thé à la menthe.
Sous ma tente
Nous irons rêver,
Admirer les beaux rêves,
Les bateaux amarrés,
Les horizons qui dessinent au loin
Le rêve bleu des marins,
Les mouettes
Qui caressent les écumes cendrées
Au dessus de nos têtes…
Si demain par hasard
Trois signes me diront que tu m’aimes
Alors, il faudra que tu viennes,
Douce tourterelle,
Me couvrir de tes ailes
Dans mon lit,
Car à chaque nuit
Et le jour qui suit,
Couronnée, tu seras ma reine,
Ma lune, mon soleil,
Et moi dans mes réveils
J’attends que tu me dises tout bas :
Je suis l’étoile qui t’accompagne
Là où tu vas ;
Par les vallées et les montagnes,
Je suis la nuit de tes noces,
Vaya mi amigo !Vaya con dios ! (*)


(*) Allez mon ami, que Dieu vous accompagne

Merci pour ces vers qui murmurent l'amour et la douceur des mots. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

l'amour est à la vie
ce que le rêve est à la nuit...
que tu nous offres...

Si demain tu nous reviens
C'est sûr que tu nous feras goutter de la belle poésie
(N'est-ce pas ?)