L'HEURE DU SOIR
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sarah
kimannzo
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Re: L'HEURE DU SOIR
L'heure du soir
"les sons et les parfums tournaient dans l'air du soir" écrivait Baudelaire. Sensations multiples, la connaissance et nos cinq sens ajoutent à la vie et vivons simultanément la culture & la nature qui ne font qu'un couple singulier mai magique.
Que douce soit la vie et délaissons quelquefois nos petites envies.
Un poème qui fleure bon la musique des mots !
"les sons et les parfums tournaient dans l'air du soir" écrivait Baudelaire. Sensations multiples, la connaissance et nos cinq sens ajoutent à la vie et vivons simultanément la culture & la nature qui ne font qu'un couple singulier mai magique.
Que douce soit la vie et délaissons quelquefois nos petites envies.
Un poème qui fleure bon la musique des mots !
Re: L'HEURE DU SOIR
" Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ; mais le présent est à toi. "
Proverbe Arabe
merci kim du partage et au fait où es tu depuis longtemps?
Proverbe Arabe
merci kim du partage et au fait où es tu depuis longtemps?
nisrine nacer- Nombre de messages : 1044
Date d'inscription : 09/09/2008
Re: L'HEURE DU SOIR
en ce beau petit matin j'aime ton "heure du soir"kimannzo a écrit:L'heure du soir entre la fin d'une journée bien remplie et le silence de la nuit qui descend
doucement ....c'est l'instant où se pose l'esprit !
Que de fois doutes et désespoirs ont sombré dans la splendeur des crépuscules...le
cercle de ces éléments se refermait sur le néant !
Que de fois elle escalada l'échelle des choses mille fois ressassées, vers des cieux
étoilés où vont stagner les causes .....quel mensonge !
Elle se rendait souvent à l'évidence que les illusions restaient infécondes ...où
voyageaient les voix divines , les ondes positives qui rassuraient ?
Pourtant, le regard plongé dans le noir - avec ou sans lune -, elle quémandait l'amour et
tous les mots-placebo qui détruiraient le mal !
Que de fois, elle propulsa ses pensées ...là-haut ...leur voix ne s'était-elle pas perdue
dans la profondeur de cette nuit ? silence...tout n'était que silence à l'heure du soir !
Et la foi qui s'évertue à lutter contre le temps, perdait de son sens...alors, elle écoutait son
âme qui refusait la prière, dans l'attente de petites joies simples et naturelles !
Etait-ce de l'orgueil : vouloir connaître, évaluer elle-même les choses ? un peu fière cette
manie qu'elle avait de chercher le moindre détail dans l'existence...son existence !
C'est donc dans le rêve qu'elle captait les bonheurs ...furent-ils vains ...peu importe...ils
lui étaient nécessaires....et elle souriait en songeant aux incrédules, à ceux qui
regardaient leur coeur s'effondrer pour s'être privé de "vagabondages spirituels " !
Abolissant les rêves d'autrefois, elle était confrontée ehn permanence à la réalité qui
venait déchirer l'étoffe de ses désirs ....pas question de capituler, de brûler et laisser
calciner ce don qu'elle avait, cette faculté d'habiter un "ailleurs" où les portes toujours
ouvertes, la plongeaient dans un bonheur constamment recherché !
L'horizon, fût-il teinté de doute, la route sur les traces des certitudes et des espoirs ,
s'entr'ouvraient !
C'est ainsi qu'elle s'appropriait les mystères qui masquaient l'angoisse et la solitude !
Il suffisait d'accepter d'âpres destins côtoyant de mieux armés, de ne pas se séparer du
carrosse des souvenirs qui bercent l'enfance, pour mieux rebondir vers un monde
de "possibles" -esclaves que nous serons à jamais de la vie - , avec en main, sans le
laisser choir, le lampion éclairé de la conscience !
kimannzo
chayma- Nombre de messages : 512
loisirs : lecture,marche, cuisine
Humeur : Printanière
Date d'inscription : 05/06/2008
Re: L'HEURE DU SOIR
Bonjour kim; te lire sur nos pages est un plaisir .
Merci pour le partage.
Merci pour le partage.
sarah- Nombre de messages : 2022
Date d'inscription : 12/11/2008
L'HEURE DU SOIR
L'heure du soir entre la fin d'une journée bien remplie et le silence de la nuit qui descend
doucement ....c'est l'instant où se pose l'esprit !
Que de fois doutes et desespoirs ont sombré dans la splendeur des crépuscules...le
cercle de ces éléments se refermait sur le néant !
Que de fois elle escalada l'échelle des choses mille fois ressassées, vers des cieux
étoilés où vont stagner les causes .....quel mensonge !
Elle se rendait souvent à l'évidence que les illusions restaient infécondes ...où
voyageaient les voix divines , les ondes positives qui rassuraient ?
Pourtant, le regard plongé dans le noir - avec ou sans lune -, elle quémandait l'amour et
tous les mots-placebo qui détruiraient le mal !
Que de fois, elle propulsa ses pensées ...là-haut ...leur voix ne s'était-elle pas perdue
dans la profondeur de cette nuit ? silence...tout n'était que silence à l'heure du soir !
Et la foi qui s'évertue à lutter contre le temps, perdait de son sens...alors, elle écoutait son
âme qui refusait la prière, dans l'attente de petites joies simples et naturelles !
Etait-ce de l'orgueil : vouloir connaître, évaluer elle-même les choses ? un peu fière cette
manie qu'elle avait de chercher le moindre détail dans l'existence...son existence !
C'est donc dans le rêve qu'elle captait les bonheurs ...furent-ils vains ...peu importe...ils
lui étaient nécessaires....et elle souriait en songeant aux incrédules, à ceux qui
regardaient leur coeur s'effondrer pour s'être privé de "vagabondages spirituels " !
Abolissant les rêves d'autrefois, elle était confrontée ehn permanence à la réalité qui
venait déchirer l'étoffe de ses désirs ....pas question de capituler, de brûler et laisser
calciner ce don qu'elle avait, cette faculté d'habiter un "ailleurs" où les portes toujours
ouvertes, la plongeaient dans un bonheur constamment recherché !
L'horizon, fût-il teinté de doute, la route sur les traces des certitudes et des espoirs ,
s'entr'ouvraient !
C'est ainsi qu'elle s'appropriait les mystères qui masquaient l'angoisse et la solitude !
Il suffisait d'accepter d'âpres destins côtoyant de mieux armés, de ne pas se séparer du
carrosse des souvenirs qui bercent l'enfance, pour mieux rebondir vers un monde
de "possibles" -esclaves que nous serons à jamais de la vie - , avec en main, sans le
laisser choir, le lampion éclairé de la conscience !
kimannzo
doucement ....c'est l'instant où se pose l'esprit !
Que de fois doutes et desespoirs ont sombré dans la splendeur des crépuscules...le
cercle de ces éléments se refermait sur le néant !
Que de fois elle escalada l'échelle des choses mille fois ressassées, vers des cieux
étoilés où vont stagner les causes .....quel mensonge !
Elle se rendait souvent à l'évidence que les illusions restaient infécondes ...où
voyageaient les voix divines , les ondes positives qui rassuraient ?
Pourtant, le regard plongé dans le noir - avec ou sans lune -, elle quémandait l'amour et
tous les mots-placebo qui détruiraient le mal !
Que de fois, elle propulsa ses pensées ...là-haut ...leur voix ne s'était-elle pas perdue
dans la profondeur de cette nuit ? silence...tout n'était que silence à l'heure du soir !
Et la foi qui s'évertue à lutter contre le temps, perdait de son sens...alors, elle écoutait son
âme qui refusait la prière, dans l'attente de petites joies simples et naturelles !
Etait-ce de l'orgueil : vouloir connaître, évaluer elle-même les choses ? un peu fière cette
manie qu'elle avait de chercher le moindre détail dans l'existence...son existence !
C'est donc dans le rêve qu'elle captait les bonheurs ...furent-ils vains ...peu importe...ils
lui étaient nécessaires....et elle souriait en songeant aux incrédules, à ceux qui
regardaient leur coeur s'effondrer pour s'être privé de "vagabondages spirituels " !
Abolissant les rêves d'autrefois, elle était confrontée ehn permanence à la réalité qui
venait déchirer l'étoffe de ses désirs ....pas question de capituler, de brûler et laisser
calciner ce don qu'elle avait, cette faculté d'habiter un "ailleurs" où les portes toujours
ouvertes, la plongeaient dans un bonheur constamment recherché !
L'horizon, fût-il teinté de doute, la route sur les traces des certitudes et des espoirs ,
s'entr'ouvraient !
C'est ainsi qu'elle s'appropriait les mystères qui masquaient l'angoisse et la solitude !
Il suffisait d'accepter d'âpres destins côtoyant de mieux armés, de ne pas se séparer du
carrosse des souvenirs qui bercent l'enfance, pour mieux rebondir vers un monde
de "possibles" -esclaves que nous serons à jamais de la vie - , avec en main, sans le
laisser choir, le lampion éclairé de la conscience !
kimannzo
kimannzo- Nombre de messages : 898
loisirs : ecriture; équitation;jogging
Humeur : dynamique...
Date d'inscription : 27/05/2009
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