MES RIMES

Mes rimes sont les silences que j'observe,

Le chant d'un oiseau,

L'ondulation de l'herbe au passage du vent,

Le rire d'un enfant qui résonne,

Des bruits de feuilles et d'eau,

Mes rimes sont les doux mots qu'on me réserve,

La lune et son halo,

L'insolence de l'orage, le retour du printemps,

Une larme qui se perd, une fredonne,

la pluie sur les carreaux,

Mes rimes sont le retour à l'enfance

Et l'amour d'une mère,

Les douleurs passagères qui s'en viennent griffer l'âme,

Un baiser attendu, un regard,

Et tout ce qui flotte dans l'air,

Nous interpelle,

Nous inspire,

Mes rimes sont les chuchotements

A l'aube, au crépuscule,

Quand l'amour se conjugue

Et rassasie les corps...

Poète que je suis, je vous donne mes rimes,

Elles ont tant à vous dire !


kimannzo

kimannzo a écrit:Mes rimes sont les silences que j'observe,

Le chant d'un oiseau,

L'ondulation de l'herbe au passage du vent,

Le rire d'un enfant qui résonne,

Des bruits de feuilles et d'eau,

Mes rimes sont les doux mots qu'on me réserve,

La lune et son halo,

L'insolence de l'orage, le retour du printemps,

Une larme qui se perd, une fredonne,

la pluie sur les carreaux,

Mes rimes sont le retour à l'enfance

Et l'amour d'une mère,

Les douleurs passagères qui s'en viennent griffer l'âme,

Un baiser attendu, un regard,

Et tout ce qui flotte dans l'air,

Nous interpelle,

Nous inspire,

Mes rimes sont les chuchotements

A l'aube, au crépuscule,

Quand l'amour se conjugue

Et rassasie les corps...

Poète que je suis, je vous donne mes rimes,

Elles ont tant à vous dire !


kimannzo

Que voudrais-tu ainsi m'apprendre que je ne sache déjà?
Au silence se donne les réflexions de l'esprit et de l'Âme,
Rechercher de la conception premiére l'éternelle flamme,
La vérité se cache toujours derriére notre éternel trépas,
Nous cherchons une direction aux aléas de notre compas,
La chair sait s'inventer un monde imaginaire en sa bobine,
Voir en nature d'erronées conceptions se voulant divines,
Définir le pourquoi du comment...J'en suis à mon mea culpa.

Une réponse à méditer.....Mais qui saura mieux le faire si ce n'est Celui Qui Sait?
Est-ce vraiment utile de commenter?Le feu n'engendre point l'eau.C'est une exception qui ,désormais,confirmera ma régle.

Je me suis délectée de la poèsie et puis de la finesse du commentaire de celui qui sait.. tout ce que j'y ai lu, avait un grand écho en mon âme..
Poète nous sommes, même si parfois la feuille blanche est trop grande pour accueillir nos maux.

Allez je vais le dire, le crier, Poètes, je vous aime !

TITEFEE a écrit:Je me suis délectée de la poèsie et puis de la finesse du commentaire de celui qui sait.. tout ce que j'y ai lu, avait un grand écho en mon âme..
Poète nous sommes, même si parfois la feuille blanche est trop grande pour accueillir nos maux.

Allez je vais le dire, le crier, Poètes, je vous aime !

J'ai souvent,comme toi,entrepris de semblables voyages,
Dans le train des incertitudes de l'esprit sans autre bagage,
Il manque le visa donné à notre Âme pour,enfin,nous définir,
La vérité nous aiderait,mais qui est digne,ici-bas,de l'obtenir?

Il ne nous reste que l'expectative de la foi.

Savourer: c'est ça te lire. je le fais avec plaisir kim.