ANASTASIA

La lune du mois d'août était pleine comme un étang,
l'arc-en-ciel projeté par dessus de lac et les têtes,
sur les chantiers et au fond des mines de charbon,
j'ai essayé de persuader les gens de ton nom.

Le noir dans l'obscure a brillé comme un fauve,
la foudre enchaînée a soupirée après la montagne,
dans la boue jusqu'au cou, j'ai pensé à toi,
jurais en malentendant de prononcer ton nom.

Le jour entier dans le ciel, la lune a brûlée,
sous le faux nom elle soigna ses cendres,
la musique de la neige remplissait les oreilles,
je jurais de mes deux mains ne jamais t'aimé.

Rossignol a chanté avec la voix de tourterelle,
je me suis venté que tu étais folle de moi,
que j'ai essayé de te chasser de ma tête,
mais que tu ne voulais pas t'en aller.

J'ai plongé au plus profond et fuis le pire,
pour t'appeler fort et que personne ne l'entende,
j'étais suprstitieux, j'ai demandé les passants,
comment imaginent-ils ton visage sybarite.

Entres deux étoiles, dans le courant d'amour,
invisible espion n'était pas toujours d'accord,
il y avait ces deux lèvres d'une femme, illetrées,
un peut à l'instar des tiennes mon aimée.

De ton propre nom ils sont tous jaloux,
nul ne sait ou se trouvent les lettres de ton nom,
dans les langues morts ou dans fausses sylabes,
qui peut comprendre le brio des consonnes et voyelles.

Sous le mauvais temps j'ai chassé les mains nues,
parmi les méridiens dorés dans cette eau glacée,
je décrivais les yeux d'une femme de mes rêves,
ton sang bleu mais froid, de la noblesse oblige,

pensant à toi, à ton nom et combien je t'ai aimé.

Un regard que j'imaginais se dessinant en cet interminable brouillard,
Image fugace d'une femme auquelle la vie ne livre point son secret,
La volonté se nourrit d'espoir même aux endroits se voulant couperets,
Un souvenir douloureux qui se rappele à ma mémoire de grand gaillard.

Bien à toi Yéfi.

Merci Marquis.



YEFI

yefimia a écrit:Merci Marquis.



YEFI

Toujours est le plaisir,
D'un instant te retenir,
De quelques mots donnés,
Dans une virtuelle amitié.