JEUNE FILLE

Jadis, je t'ai porté sur mes genoux,
je t'offrais des douceurs et les bijoux,
j'avais embrassé ta petite tête blonde,
ton innocent et doux visage rond.

Mais les jours et les années sont passés,
tel que la rivière après l'orage, asséchée,
toutes mes illusions et les pensées furtives,
à present ton visage d'autre regards captive.

Dans son rictus, la splendeur de femme se lit,
qu'elle soit maudite la vieillesse qui me terni.
Je sais que ton coeur brûle de mille feux, oui,
le mien, la jalousie l'énchaîne et meurtri.

Tes yeux brillent comme deux ciels, ravis,
les miens sont sombres, embroumé sans vie,
l'amour, la jeunesse dorment dans mon coeur,
adieu les souvenirs, la passion se meurt.

Yefi 2009

Il est triste ton poème, mais hélas il correspond à des souffrances bien réelles ...
Bel écrit !

"La vieillesse n'est autre chose que la privation de folie,
l'absence d'illusions et de passion".

(Stendhal)


Yefi

yefimia a écrit:Jadis, je t'ai porté sur mes genoux,
je t'offrais des douceurs et les bijoux,
j'avais embrassé ta petite tête blonde,
ton innocent et doux visage rond.

Mais les jours et les années sont passés,
tel que la rivière après l'orage, asséchée,
toutes mes illusions et les pensées furtives,
à present ton visage d'autre regards captive.

Dans son rictus, la splendeur de femme se lit,
qu'elle soit maudite la vieillesse qui me terni.
Je sais que ton coeur brûle de mille feux, oui,
le mien, la jalousie l'énchaîne et meurtri.

Tes yeux brillent comme deux ciels, ravis,
les miens sont sombres, embroumé sans vie,
l'amour, la jeunesse dorment dans mon coeur,
adieu les souvenirs, la passion se meurt.

Yefi 2009

Yéfi tu m'en apprends de jour en jour,
Ce que tu as donné se nomme l'Amour,
Aux petits enfants....Petits tourments,
Aux grands enfants....Grands tourments,
Ce qui se perd ici bas,ton Âme l'enregistre,
Pour qu'en l'au-delà tu en retrouves registre.

Bien à toi Yéfi.

Jadis, je t'ai porté sur mes genoux,
je t'offrais des douceurs et les bijoux,
j'avais embrassé ta petite tête blonde,
ton innocent et doux visage rond.

Mais les jours et les années sont passés,
tel que la rivière après l'orage, asséchée,
toutes mes illusions et les pensées furtives,
à présent ton visage d'autre regards captive.

Dans son rictus, la splendeur de femme se lit,
qu'elle soit maudite la vieillesse qui me terni.
Je sais que ton cœur brûle de mille feux, oui,
le mien, la jalousie l'enchaîne et meurtri.

Tes yeux brillent comme deux ciels, ravis,
les miens sont sombres, embrumés sans vie,
l'amour, la jeunesse dorment dans mon cœur,
adieu les souvenirs, la passion se meurt.

Merci et l'amitié pour tous.

YEFI