Mon glaive contre un empire,

jélas a écrit:

Mon glaive contre un empire,

Je parcours un sentier caché,
A l’abri des oreilles curieuses,
Cherchant une histoire semée,
En sillons dans une main creuse.

C’est la main qui jadis me cueillie,
Comme l’herbe mauvaise et jaunie,
Qu’un homme un peu trop amer,
S’entête à dompter en mauvaises manières.

Natures sensibles et âmes galantes,
N’empreintez pas ce chemin périlleux,
Au risque de glisser dans une brèche béante,
Ne suivez pas la marche du lépreux.

J’avance seul dans mon brouillard,
Aucuns soleils ni lueurs d’un phare,
Juste une brise légère et sereine,
Me fait vivre…comme le sang dans mes veines.

J’aspire aux matins futiles,
Comme aux soirs fiévreux pour danser,
Sur des airs caressant une île,
Fille d’un empereur geôlier.

En attendant que le jour se lève,
J’en profite pour affûter mon glaive,
Dans cette nuit aux ombres déchirées,
Où je m’encourage à le transpercer.

Aiguise, appointe et acère,
J’affile ma lame pointue,
Décidée aux frottements de la pierre,
Elle finira plantée dans son…cul…rry…ctus !!!!

JL

Si tous les chemins ménent,comme on dit,à Rome,
Celui que tu empreintes se donne un air achrome,
A défaut de vivre,tu sembles vouloir survivre,
Un bien singulier message que tu nous délivre.

Pourquoi ai-je l’impression qu’il ya des séquelles d’un passé pénible entre les lignes ?
Le texte déguisé en « abstrait » est plein de flashs qu’on pourrait lire et analyser si on prend le temps de s’y glisser…..

Je me perds un peu entre les mots….il y’a l’ombre des tourments qui flotte, la volonté de dépassé le noir et percer le jour par la pointe du cœur courageux.
J’hésite à m’avancer sur tout ce que je ressens devant ce texte complexe et captivant