Ce jadis au goût de pomme verte

Ce jadis au goût de pomme verte.

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C’était le temps candide, au gout de pomme verte
Qui ce soir reprend vie, alors que dans le chœur
Des enfants entament, en chantant de tout cœur,
Les cantiques appris dans la bible entrouverte.

Ils sont encore présents les joyeux jours de mai
Quand au mois de Marie affublés d’ailes d’ange
Nous parcourions les rues avec le bel archange
Qui annonçait Jésus dans l’air tout parfumé.

Les Branchages fleuris de belles fleurs coupées
Garnissaient la corbeille aux liens de satin
Et nous récitions gravement en latin
Les paroles absconses en lentes mélopées.

C’était par tradition qu’à la messe dimanche
À genoux, yeux baissés, dans le confessionnal
Nous nous accusions, d’une voix toute blanche,
De péchés inconnus au pouvoir infernal.

Je me souviens très bien que j’ai dû offenser
Quand je me rebellais devant cet arbitraire
M’empêchant librement de dire et de penser,
Quand sans même écouter on disait de me taire.

Et j’entendrais toujours ; t’es trop petite Claire.

Un peu de nostalgie en ce dernièr jour de l'année!
Bonne année

Etant petit on veut grandir le plus vite possible pour ne plus entendre ce mot là : (tu es encore petit) avec le temps, on grand, on regrette un peu cette enfance même si ‘tout’ n’était pas permit pour les petits.
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C’était le temps candide, au goût de pomme verte
Qui ce soir reprend vie, alors que dans le chœur
Des enfants entament, en chantant de tout cœur, (???)
Les cantiques appris dans la bible entrouverte.

Ils sont encore présents les joyeux jours de mai (encor ?)
Quand au mois de Marie affublés d’ailes d’ange
Nous parcourions les rues avec le bel archange
Qui annonçait Jésus dans l’air tout parfumé.

Les Branchages fleuris de belles fleurs coupées
Garnissaient la corbeille aux liens de satin
Et nous récitions gravement en latin
Les paroles absconses en lentes mélopées. (les liaisons font un pied en plus...)

C’était par tradition qu’à la messe dimanche
À genoux, yeux baissés, dans le confessionnal
Nous nous accusions, d’une voix toute blanche,
De péchés inconnus au pouvoir infernal.

Je me souviens très bien que j’ai dû offenser
Quand je me rebellais devant cet arbitraire
M’empêchant librement de dire et de penser,
Quand sans même écouter on disait de me taire.

Et j’entendrais toujours ; t’es trop petite Claire. (Tu es trop jeune, Claire ???)

C’était le temps candide, au goût de pomme verte
Qui ce soir reprend vie, alors que dans le chœur
Des enfants répètent en chantant de tout cœur, (???)
Les cantiques appris dans la bible entrouverte.

Ils sont toujours présents les joyeux jours de mai
Quand au mois de Marie affublés d’ailes d’ange
Nous parcourions les rues avec le bel archange
Qui annonçait Jésus dans l’air tout parfumé.

Les Branchages fleuris de belles fleurs coupées
Garnissaient la corbeille aux liens de satin
Et nous récitions gravement en latin
Les écrits si abscons en lentes mélopées.

C’était par tradition qu’à la messe dimanche
À genoux, yeux baissés, dans le confessionnal
Nous nous accusions, d’une voix toute blanche,
De péchés inconnus au pouvoir infernal.

Je me souviens très bien que j’ai dû offenser
Quand je me rebellais devant cet arbitraire
M’empêchant librement de dire et de penser,
Quand sans même écouter on disait de me taire.

Et j’entendrais toujours ; t’es trop petite Claire. (Tu es trop jeune,

Je laisse petite, car c'est ainsi que l'on dit dans le midi pour dire jeune.

Merci à toi mon ami gEPETTO pour ta patience et ton savoir que tu sais distribuer avec beaucoup de générosité et de chaleur

Je sais bien pour "petite". Tu sais, le sud-ouest a les mêmes habitudes ...

Une forme "ferait passer" le caractère "vulgaire" (au sens propre) de la chose :
J'entendrai toujours ce : "T'es trop petite, Claire".

J'entendrai, car il s'agit d'un futur simple...


Des enfants répètent en chantant de tout cœur, (???)

c'est le pluriel qui coince à cette place, avec le "en" qui suit...
Solution à méditer, avec ta baguette magique, Titefée:

... alors que dans le chœur
Répètent des enfants, en chantant de tout cœur, (fais gaffe à la ponctuation, elle aide,parfois).

j'adopte et je corrige vivement dans mon fichier.. comme cela le poème sera f i n i, HEV
Merci à toi l'ami..
maintenant je vais raturer mon autre poème qui a l'air de t'embêter alors que tous les deux vers j'essayais de mettre des mots commençant par la même lettre jusqu'à l'hémistiche.. exercice périlleux s'il en est..
si périlleux que ça a fait boum, crac, boum hue