Re: est ce bien moi ?

par ressilap Jeu 14 Déc - 22:01

hahahah oui un bon début ? cela date déjà mais suite à une conversation avec des amis je me suis dit, tiens pourquoi ne pas parler de ce genre de comportement, fonctionnement. Et puis est ce que tout ce que l'on écrit est vérité ou fiction, ou un mixte :)

Bien à vous très chère admin'

par **Admin** Jeu 14 Déc - 19:22

C'est vrai: "essayer déjà est un bon début" !

Bien à vous.

par ressilap Jeu 14 Déc - 14:58

Est ce bien moi ?

Allons bon, me voici dans une démarche de réflexion. Non pas de style luminaire, ou de psychologie sociétale (encore un mot à la mode)

Je suis à me dire qu'entre ce que j'écris et pense, il y a un grand fossé avec mes actes. Je n'en ai pas honte, on ne peut se refaire, on peut juste essayer de s'améliorer.

Comme souvent les vieux adages sont vrai. Chasser le naturel il revient au galop, hihi alors là lui il est vraiment dans le vrai. Il m'arrive de monter en puissance, non, non pas musculaire, ni intellectuelle, là j'aurai du mal, quoique je sois un mâle. Enfin parfois aussi suis je en mal-être, peut-être aussi suis je une malfaçon. Celle des neurones en désuétudes, de la réflexologie comportementale, de ma naissance tardive.

Tardive, non pas que je sois né vers mes 30 ans, quoique cela pourrait être possible dans un certain sens de pensés, et non ce n'est pas insensé. Donc je suis à terme et pas dans des thermes, bien que j'aime l'eau et nager. En fait mes parents avaient 40 et 42 ans, ce qui fait d'ailleurs que ma maman ait dépassée les 100 ans. Oui oui c'est vrai. Je suis ainsi né tard et pas têtard.

Mais non je ne suis pas né à 35 ans, quoique c'est une époque, oui révolue, ou étrangement l'intelligence de mon savoir être à commencé à modifier non pas mon physique, et j'en avais besoin, mais à me modifier intérieurement, mais c'est l'époque ou le recul commençait à se faire.

Attention à prendre trop de recul, on fini par ne plus rien faire, et parfois on a des risques de chutes, et pas de chutes d'histoires. Non, le type de chutes professionnelles, affectives, dans ces cas là, on à tendance à ce taire, d'ou le ''chut'' dans le sens tait toi. A ne rien dire on ne participe pas à la société, celle ou l'on travaille mais aussi celle ou l'on vit.

Au fait ou en étais je ? Ah oui mon bien et mon mal. Le fait de savoir, dans mon cas bien sur, n'est pas forcément en adéquation avec ce que je fais. On dit "fait ce que je dis et pas ce que je fais " Et bien je me le dis, oui oui, sauf que c'est comme à la télévision, je fais ou je dis et mon moi même me regarde (bizarre hein) et me dit mais que fais tu ? que dis tu ?

Regardons, analysons par exemple Rousseau, oui jean-jacques.Nous n'avons que cela en commun, le prénom. Il a vécu toute sa vie aux crochets de femmes à blé, histoire de ne pas se saigner, et se permettre de jardiner les jardins secrets de ces dames. Oui je vois cela comme...cela (oups) Un philosophe qui finalement se mettra avec une femme, que je ne connais pas d'ailleurs, mais qui n'avait pas réellement de savoir. Ainsi ce philosophe de la vie, réussi à faire quelques enfants tous placé en dehors de sa demeure...Étrange philosophie de ce groupe appelé famille, couple...etc

Je regarde et écoute d'un air bizarre cet homme semblable en beaucoup de points avec moi même et m'interroge sur bien de facettes. Mais non je ne parle parle de Rousseau mais de moi, et pas d'émois. Suivez que diantre.

En clair je pense qu'il est aussi facile de critiquer...... que la critique est facile. On ne peut devenir autre chose que soi même pour la simple et bonne raison qu'on ne peut être quelqu'un d'autre. Il est nécessaire de se connaitre, et d'essayer, oui essayer déjà est un bon début, non ?

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