Brouillard

plume poétique à relire

Abdellah Louaradi a écrit:
Merci Orchidée, en fait c'est un mouvement de sentiments,des tatonnements entre la vie et la mort ,le noir et le blanc,entre L'Andalousie engloutie dans la mémoire bleue et l'espace vécu; conçu par ces quelques lignes, qui porteaient peut être un message blessé vers l'inconnu ...vers un lendemain sans hier ni aujourd'hui,un bouillonnement de neurones aplaties par le temps , le vide et l'absence de lumière.

remarquable mon ami merci :)

pas de commentaire face à ces vers philosophie de vie.
bien à vous poète sage.

Abdellah Louaradi a écrit:
le désert est riche par son vide,ses raretés foisonnent,se terrent ,timides,elles refusent de montrer leur beauté justement source de tourments et d'idées noires ou achromatique.

L'espace attend la saison des pluies lui permettant à chaque fois de se réinventer.

merci pour ce texte touchant

afdm

Abdellah Louaradi a écrit:À celui qui sait:
le désert est riche par son vide,ses raretés foisonnent,se terrent ,timides,elles refusent de montrer leur beauté justement source de tourments et d'idées noires ou achromatique.

C'est souvent le vide d'un désert qui engendre la réflexion et une certaine forme de pensée destinée aux cieux.

Bien à toi Abdellah.

À celui qui sait:
le désert est riche par son vide,ses raretés foisonnent,se terrent ,timides,elles refusent de montrer leur beauté justement source de tourments et d'idées noires ou achromatique.

mouvement de plume qui va du cœur vers les cœurs-lecteurs.

amitiés et salutations

Toujours en voyage dans les limbes de tes noires pensées?
Aux murs de la vie et de la mort sans cesse je te vois adossé,
Sauras-tu pour sortir de ce labyrinthe trouver ton fil d'Ariane?
Celui qui t'emménera vers d'autres lieux,vers d'autres arcanes.

Bien à toi Abdellah.

merci j'ai aimé encore une fois de plus vous lire belle journée monsieur abdellah amities marie

Merci Orchidée, en fait c'est un mouvement de sentiments,des tatonnements entre la vie et la mort ,le noir et le blanc,entre L'Andalousie engloutie dans la mémoire bleue et l'espace vécu; conçu par ces quelques lignes, qui porteaient peut être un message blessé vers l'inconnu ...vers un lendemain sans hier ni aujourd'hui,un bouillonnement de neurones aplaties par le temps , le vide et l'absence de lumière.

Merci Orchidée, en fait c'est un mouvement de sentiments,des tatonnements entre la vie et la mort ,le noir et le blanc,entre L'Andalousie engloutie dans la mémoire bleue et l'espace vécu; conçu par ces quelques lignes, qui porteaient peut être un message blessé vers l'inconnu ...vers un lendemain sans hier ni aujourd'hui,un bouillonnement de neurones aplaties par le temps , le vide et l'absence de lumière.

tres beau , magnifique " seulle atterit reclame d etre aimeé au beau milieu de la nuit ..." n y a t il pas là un temoignage d appertenance de desirs absolu de n etre qu un etre un bien aimé!!merci pour cette douceur mon ami

Cerné par le bleu et le crépuscule, entre la cédraie du tell et la roseraie rouquine, une voix muette résonne dans mes ruelles, m’appelle, m’interpelle, crie telle une mère descendue tout droit du paradis, seule, elle atterrit, réclame d’être aimée au beau milieu de la nuit.
Une nuit sans issue, sans lendemain ; elle avait bu sa lune, croqué ses étoiles, déchiré sa tenture, lacéré ses amours déchus, trempé son corps dans l’ombre de mes amandiers, oui, elle a accroché nos destins au sommet de la source, au fond de la vallée elle a enterré les noms des ruelles dont elle a oubliées le nom.
Les vents tourbillonnent emportent mes souvenirs et mes feuilles ,mes poèmes et mes idées qui ne peuvent accoster tout près des flancs andalous, ses flancs qui m’ont englobé avant l’avènement de ma triste solitude qui ne cesse de ronger mon devenir circulaire.
Entre les roses et les amandiers je me cantonne, lire les lignes de sa main, regardant défiler mon futur couvert d’ambre mecquois, écoutant un doux silence chatouillant ses cheveux qui ont envahi ma dépouille la voilant en noir ; un beau noir ébène dans lequel j’ai mis tous mes chagrins et mes désirs.
Elle est toujours là la dame en noir, elle me poursuit dans mes nuits, se faufile entre les lignes de ma vie, elle ne tardera pas à m’emporter auprès d’elle cette sacrée dame voilée.
Heureusement, qu’il y a la nuit, la rose et les cœurs étincelants d’amour et de beauté andalouses.