L’oiseau meurt aux portes du paradis

creuser au fond et trouver des images .
se laisser au vent des souvenirs et traduire la nostalgie en vers.
seul un vrai poète sait tracer le chemin de la liberté par le mot .
mes amitiés

Une réalité qui fut et demeurera longtemps un souvenir vivace,
Des négatifs de nombreuses images que tu traînes en ta besace,
Le paradis terrestre est-il accessible au commun des mortels?
Un mystère qui séparera toujours les éphémères de l'éternel.

Bien à toi.

Merci Jessy-Paul.
ce ne sont que des mots qui cachent un monde avorté,des souvenirs vivaces.

bonjour
Emue , c'est trop beau.
tu a des dons superbes !

Une fable qui incite à l'optimisme, aucun sort ne parait définitivement scellé...importantes demeurent les racines!

comme quoi
il faut jamais désespérer d'un beau lendemain

Deux arbres vivaient côte à côte, leurs branches se confondaient, un oiseau y nichait sans se soucier de l’avenir, chaque matin les rayons d’un même soleil les baignaient, avec pudeur, sans enlever leurs manteaux de feuilles multicolores.

Avant de fructifier, un orage violent éclata, l’arbre aîné, atteint en plein coeur perdit sa moitié, l’autre fut déraciné, exilé, garde encore des fragments de son sol natal…
l’oiseau éternel perdit ses repères, voyageait au bout du monde…

Longtemps après, les deux arbres ressuscitèrent, retendirent leurs branches, l’oiseau refait son nid et chante la gaieté ; le bonheur s’évanouit devant la porte du paradis…