L'être humain ou lettre humaine

Un flocon d'or au gré de l'onde

Battements d'ailes
Une mouette
Le fracas de la vague aussitôt effondrée

Un bras qui se tend vers le sang
Un œil crevé d'avoir trop vu

Un univers

Illimité

uni-vers en regard sur l'univers..j'apprécie les mots non bavards

Sur le pont des soupirs les pierres se gondolent
Aux versions sibyllines de l'histoire folle
D'un amour immortel qu'on voudrait voir finir
Et d'un coeur qui s'enfuit qu'on aimerait retenir.

En craquant les mots
Bleu, rouge, jaune
Les saisons se ressemblent
Étincelle
Jet de lune

Amour

Couvée des lettres
Jaune

Des monts
Culminer

Puis
Gésir
Au creux
Des vallées
Dormir
Dans
Ses bras

Bercé

A jamais.

benjamin-j-m a écrit:uni-vers en regard sur l'univers..j'apprécie les mots non bavards

Merci, benjamin-j-m.

Un flocon de vers et mieux qu'un discoure

Bien à vous poète.

Etrange torpeur
Esclavagit les mots
Sous les lignes,
Le monde défile.
Suspendue aux fils
De la nécessité, avance la muse.

mots
silences
maux
souffrances
personne ne se prononce

Qui devraient crever le silence ?

Laurent jacob a écrit:
Sur le pont des soupirs les pierres se gondolent
Aux versions sibyllines de l'histoire folle
D'un amour immortel qu'on voudrait voir finir
Et d'un cœur qui s'enfuit qu'on aimerait retenir.

Cœurs, pierres, soupirent à fendre l'âme.
Merci, Laurent jacob, de tes mots inscrits ici.

fred a écrit:En craquant les mots
Bleu, rouge, jaune
Les saisons se ressemblent
Étincelle
Jet de lune

Amour

Couvée des lettres
Jaune

Des monts
Culminer

Puis
Gésir
Au creux
Des vallées
Dormir
Dans
Ses bras

Bercé

A jamais.

Vivre

Respirer

Peut-être.

Tout ce qui brille n'est pas d'or, mais c'est si beau d'y croire !

Dans cet univers sans limite, tant de dangers nous guettent...et nous oublions que nous sommes nous-même de précieuses poussières.

Un poème court, riche de sensations et de sens.

eric bourgeois a écrit:Un flocon de vers et mieux qu'un discoure

Bien à vous poète.

Merci pour tes bons mots, eric bourgeois.

de retour
le partage n'a pas de limite.
Amicalement

margo-julie a écrit:Etrange torpeur
Esclavagit les mots
Sous les lignes,
Le monde défile.
Suspendue aux fils
De la nécessité, avance la muse.

Muse

Il nous faut de l’espoir, Ô oui, abondamment,
Des récits où l’amour est présent, seulement
Et d’allègres chansons et des poèmes joyeux,
Des récits pleins d’esprit, des fleurs. C’est là mon vœux !
Il nous faut pour contrer tous les nœuds de vipères,
Un nouvel âge d’or, un siècle des lumières,
Qu’il éblouisse enfin tous les obscurantismes.

Les yeux dans le vague, en fond sonore,
Le doux roulis de la mer,
Les vagues viennent titiller le poète.
C'est beau d'être attentif à l'univers.

joakim a écrit:mots
silences
maux
souffrances
personne ne se prononce

Qui devraient crever le silence ?

Soupir

Carmen P. a écrit:Tout ce qui brille n'est pas d'or, mais c'est si beau d'y croire !

Dans cet univers sans limite, tant de dangers nous guettent...et nous oublions que nous sommes nous-même de précieuses poussières.

Un poème court, riche de sensations et de sens.

Merci, Carmen P., de tes mots bienveillants.

benjamin-j-m a écrit:de retour
le partage n'a pas de limite.
Amicalement

Merci, benjamin-j-m, tu seras toujours le bienvenu.

julien a écrit:Il nous faut de l’espoir, Ô oui, abondamment,
Des récits où l’amour est présent, seulement
Et d’allègres chansons et des poèmes joyeux,
Des récits pleins d’esprit, des fleurs. C’est là mon vœux !
Il nous faut pour contrer tous les nœuds de vipères,
Un nouvel âge d’or, un siècle des lumières,
Qu’il éblouisse enfin tous les obscurantismes.

Oh, merci, julien, pour ces deux alexandrins :
"Il nous faut pour contrer tous les nœuds de vipères,
Un nouvel âge d’or, un siècle des lumières,"

Les hommes t'entendent ! et merci pour tes mots de prière et d'espoir.

tamima a écrit:
Les yeux dans le vague, en fond sonore,
Le doux roulis de la mer,
Les vagues viennent titiller le poète.
C'est beau d'être attentif à l'univers.

Tu as raison, tamina, tes yeux écoutent juste. Merci.