Pleure pas petite fille

Pleure pas petite fille, même si les nuages sont gris
À ton âge tu penses que tu as tout appris
Et il t’est souvent pénible d’entendre des voix
Qui te disent que t’as fait le mauvais choix
Tu crois bien au-delà des rêves aux joies de l’existence
Mais ces nobles pensées émanent de l’insouciance,
De l’amour juvénile qui fait monter aux cieux
En ces instants fugaces que tu trouves délicieux.

Pleure pas petite fille, même si un vent se déchaîne
À ton âge tu espères en silence briser les chaînes
Qui te lient malgré toi au pilier de cet antre
Et qui te donnent parfois de petits maux de ventre.
Tu estimes en ton fort à ton droit de liberté
En faisant fi de nos craintes envers la société
Seulement à tout âge il y a des obligations
Les nôtres, c’est d’agir pour ta protection.

Pleure pas petite fille, quand gronde le tonnerre
À ton âge tu crois porter tous les maux de la terre
Mais les tiens te suffisent à craindre le soleil
Qui pourtant sous ton toit a la douceur du miel.
Il éclaire de ses feux les méandres du chemin
Que tu suis chaque jour en genre féminin
Pour que tu puisses enfin devenir une dame
Jouissant de la vie en évitant les drames.

Pleure pas petite sirène......souvenirs....
Un bien tendre écrit à poser sous tous les regards....

Présence auprès de nos enfants qui se trouvent confrontés au "chagrin d'amour".
C'est douloureux pour les parents aussi.
Un écrit puissant et imprégné de la délicatesse nécessaire pour aborder ce sujet.
Carmen

dur de voir pleurer un proche et qu'on n'arrive pas à aller vers lui et le consoler.
lui dire que ce n'est rien
et que ça va bien passer,
qu'on serait toujours la pour lui.....

amitiés.

pasblanc a écrit:Pleure pas petite fille, même si les nuages sont gris
À ton âge tu penses que tu as tout appris
Et il t’est souvent pénible d’entendre des voix
Qui te disent que t’as fait le mauvais choix
Tu crois bien au-delà des rêves aux joies de l’existence
Mais ces nobles pensées émanent de l’insouciance,
De l’amour juvénile qui fait monter aux cieux
En ces instants fugaces que tu trouves délicieux.

Pleure pas petite fille, même si un vent se déchaîne
À ton âge tu espères en silence briser les chaînes
Qui te lient malgré toi au pilier de cet antre
Et qui te donnent parfois de petits maux de ventre.
Tu estimes en ton fort à ton droit de liberté
En faisant fi de nos craintes envers la société
Seulement à tout âge il y a des obligations
Les nôtres, c’est d’agir pour ta protection.

Pleure pas petite fille, quand gronde le tonnerre
À ton âge tu crois porter tous les maux de la terre
Mais les tiens te suffisent à craindre le soleil
Qui pourtant sous ton toit a la douceur du miel.
Il éclaire de ses feux les méandres du chemin
Que tu suis chaque jour en genre féminin
Pour que tu puisses enfin devenir une dame
Jouissant de
la vie en évitant les drames.

mais si, si, elle doit pleurer pour se soulager, y a que les larmes qui savent laver le cœur

comment pourrait-elle ne pas pleurer?
seules les larmes vont l'aider à vider son chagrin

bonjour

une belle lecture merci à vous
belle journée
alain

rychar a écrit:Pleure pas petite sirène......souvenirs....
Un bien tendre écrit à poser sous tous les regards....

merci rychar pour ton passage et ton commentaire fort sympathique

pasblanc

belle description d'une situation protection

Très , merci pour cette lecture.. Tibar

Carmen P. a écrit:Présence auprès de nos enfants qui se trouvent confrontés au "chagrin d'amour".
C'est douloureux pour les parents aussi.
Un écrit puissant et imprégné de la délicatesse nécessaire pour aborder ce sujet.
Carmen

merci Carmen pour ton passage et ton commentaire, il faut être vigilent car à l'adolescence les enfants sont vulnérables. Être à leur écoute et les aimer

pasblanc