cheminement
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cheminement
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Cheminement.
La lune sur la mer se levait blonde, pâle et ronde,
Eclairant la terre endormie de ce nouveau monde.
Etendus sur le sable crissant sous ce ciel transparent,
Nous regardions les étoiles clouter un néant apparent.
Nous étions venus de si loin, dans ce coin inconnu,
Pour amasser des souvenirs de nous seuls connus.
Déjà, L’été était finissant, l’air de plus en plus moite.
Bientôt La mousson voilerait le vide de sa pluie droite.
Que de rêves auparavant nous avions bâtis ensemble,
De cet espace sauvage, aux fortes senteurs de savane.
Nous avions ces visages ambrés que le soleil basane
Et la liberté de l’amour sous des tulles qui tremblent
Un éclair coruscant soudain accrocha notre regard.
Sur la dernière vague mourante flottait une bouteille
Qui vint s’échouer, à nos pieds, comme par hasard,
Offrant à nos yeux ébahis, en son sein, une merveille !
Un parchemin était enroulé autour de la tige d’une rose.
Jamais ne l’avais vu, mais toi, ému, tu les reconnaissais,
Car c’était la fleur, qu’en ce flacon tu avais jadis enclose,
En en confiant pour moi au Rhin, ton plus doux secret
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Cheminement.
La lune sur la mer se levait blonde, pâle et ronde,
Eclairant la terre endormie de ce nouveau monde.
Etendus sur le sable crissant sous ce ciel transparent,
Nous regardions les étoiles clouter un néant apparent.
Nous étions venus de si loin, dans ce coin inconnu,
Pour amasser des souvenirs de nous seuls connus.
Déjà, L’été était finissant, l’air de plus en plus moite.
Bientôt La mousson voilerait le vide de sa pluie droite.
Que de rêves auparavant nous avions bâtis ensemble,
De cet espace sauvage, aux fortes senteurs de savane.
Nous avions ces visages ambrés que le soleil basane
Et la liberté de l’amour sous des tulles qui tremblent
Un éclair coruscant soudain accrocha notre regard.
Sur la dernière vague mourante flottait une bouteille
Qui vint s’échouer, à nos pieds, comme par hasard,
Offrant à nos yeux ébahis, en son sein, une merveille !
Un parchemin était enroulé autour de la tige d’une rose.
Jamais ne l’avais vu, mais toi, ému, tu les reconnaissais,
Car c’était la fleur, qu’en ce flacon tu avais jadis enclose,
En en confiant pour moi au Rhin, ton plus doux secret
TITEFEE- Nombre de messages : 1437
loisirs : poésies, ballades
Humeur : rêveuse
Date d'inscription : 17/02/2008
Re: cheminement
Le secret, est une braise sur le bout de la langue.
Tôt ou tard il met la bouche en feu pour se satisfaire
Tôt ou tard il met la bouche en feu pour se satisfaire
Re: cheminement
Offrande d'une rose dans un écrin transparent,
Tendres mots écris,en caresse,sur un parchemin,
Au gré des flots,vogue au bon vouloir du Rhin,
Le secret revient à la Belle comme un présent.
Tendres mots écris,en caresse,sur un parchemin,
Au gré des flots,vogue au bon vouloir du Rhin,
Le secret revient à la Belle comme un présent.
Invité- Invité
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