Près de toi

Près de toi


Je le reconnais, c’est toi qui avais raison
Rien ne remplace la chaleur d’une maison
Rien ne vaut la douceur de ta main dans la mienne
Si je pars, ce sera à Venise ou à Vienne,
Avec toi, sans meetings, sans projets, sans dossiers
Sans ordinateur, sans contrats à négocier
Je laisse là toutes mes idées chimériques,
Ma folie des grandeurs, mes rêves d’Amérique
Aujourd’hui, en pensant à nous deux, j’ai compris
A temps que ton amour est un joyau sans prix

Je ne pensais qu’à la réussite, au pouvoir
Je voyais au travers d’un prisme déformant
Pour arriver, je ne voulais jamais m’asseoir
Je vois enfin la vie et le monde autrement
Obsédé par l’argent, je ne savais pas voir
Comme toi, la beauté simple du firmament
Mais en pensant à toi, tout a changé ce soir
Les étoiles sont comme un flot de diamants
Posés sur un immense écrin de velours noir
Et offerts pour toujours par le ciel aux amants

Je souris un instant. Tu vois, je fais encore
Malgré moi, quand je te parle, des métaphores
Dignes d’un chercheur d’or ou d’un aventurier
Il faut que je compte tout, comme un usurier
Et dans les rayons de la lumière extérieure,
Le papier sur lequel j’essaie depuis des heures
De t’écrire un poème est toujours ressemblant
A mes yeux de businessman, à un chèque en blanc
Mais maintenant, j’aurai toujours ta douce image
Devant les yeux pour me garder de ces mirages

Je ne voyais que le succès tant désiré
J’avais toujours son éclat trompeur dans les yeux
Comme jadis, la fièvre du métal doré
A fait s’éteindre tant de gens loin de chez eux,
Comme un enfant désire un jouet coloré
En voyant l’oasis si fraîche de tes yeux,
Ce mirage s’est pour de bon évaporé
Vois le soleil, là-bas ; il brille pour nous deux
J’ai compris maintenant que son éclat doré
Qui parvient jusqu'à nous suffit aux amoureux

Ne tremble plus. Ne pleure plus. Sèche tes larmes
Dorénavant, il ne faut plus que tu t’alarmes
Maintenant, ton amour sera le seul sommet
Que j’essaierai de gravir ; je te le promets
Je ne partirai pas à l’autre bout du monde
Je ne veux plus lâcher ta main une seconde
Un émir, loin d’ici, peut me faire un pont d’or
Que peut-il valoir si chaque soir, je m’endors
Près de toi, si chaque matin je me réveille
Avec pour ciel, tes yeux bleutés qui m’émerveillent ?

L'horizon de l'amour s'il n'est point d'or vaut largement mieux par quelque regard tendre et bleu....
Réussir sa vie c'est exister dans les yeux de l'autre....

Sentir ta tête au creux de mon épaule
Être chatouillé par tes cheveux frais
Respirer la douceur de ton haleine
Rêver des caresses que tu m'offrais
Goûter la liberté des corps sans chaines
Partager tout : cœur, âme, esprit et corps
Et si nous jouons bien nos rôles
Nous n'aurons pas besoin d'or.

rychar a écrit:L'horizon de l'amour s'il n'est point d'or vaut largement mieux par quelque regard tendre et bleu....
Réussir sa vie c'est exister dans les yeux de l'autre....

hello rychar,
merci pour ton commentaire
tu parviens toujours à résumer les poèmes en quelques jolies phrases :-)
bon weekend !
,
bernard

Eschyle a écrit:Sentir ta tête au creux de mon épaule
Être chatouillé par tes cheveux frais
Respirer la douceur de ton haleine
Rêver des caresses que tu m'offrais
Goûter la liberté des corps sans chaines
Partager tout : cœur, âme, esprit et corps
Et si nous jouons bien nos rôles
Nous n'aurons pas besoin d'or.

l'écho est parfaite !
j'aime la réplique toute romantique

arkel0 a écrit:Près de toi


Je le reconnais, c’est toi qui avais raison
Rien ne remplace la chaleur d’une maison
Rien ne vaut la douceur de ta main dans la mienne
Si je pars, ce sera à Venise ou à Vienne,
Avec toi, sans meetings, sans projets, sans dossiers
Sans ordinateur, sans contrats à négocier
Je laisse là toutes mes idées chimériques,
Ma folie des grandeurs, mes rêves d’Amérique
Aujourd’hui, en pensant à nous deux, j’ai compris
A temps que ton amour est un joyau sans prix

Je ne pensais qu’à la réussite, au pouvoir
Je voyais au travers d’un prisme déformant
Pour arriver, je ne voulais jamais m’asseoir
Je vois enfin la vie et le monde autrement
Obsédé par l’argent, je ne savais pas voir
Comme toi, la beauté simple du firmament
Mais en pensant à toi, tout a changé ce soir
Les étoiles sont comme un flot de diamants
Posés sur un immense écrin de velours noir
Et offerts pour toujours par le ciel aux amants

Je souris un instant. Tu vois, je fais encore
Malgré moi, quand je te parle, des métaphores
Dignes d’un chercheur d’or ou d’un aventurier
Il faut que je compte tout, comme un usurier
Et dans les rayons de la lumière extérieure,
Le papier sur lequel j’essaie depuis des heures
De t’écrire un poème est toujours ressemblant
A mes yeux de businessman, à un chèque en blanc
Mais maintenant, j’aurai toujours ta douce image
Devant les yeux pour me garder de ces mirages

Je ne voyais que le succès tant désiré
J’avais toujours son éclat trompeur dans les yeux
Comme jadis, la fièvre du métal doré
A fait s’éteindre tant de gens loin de chez eux,
Comme un enfant désire un jouet coloré
En voyant l’oasis si fraîche de tes yeux,
Ce mirage s’est pour de bon évaporé
Vois le soleil, là-bas ; il brille pour nous deux
J’ai compris maintenant que son éclat doré
Qui parvient jusqu'à nous suffit aux amoureux

Ne tremble plus. Ne pleure plus. Sèche tes larmes
Dorénavant, il ne faut plus que tu t’alarmes
Maintenant, ton amour sera le seul sommet
Que j’essaierai de gravir ; je te le promets
Je ne partirai pas à l’autre bout du monde
Je ne veux plus lâcher ta main une seconde
Un émir, loin d’ici, peut me faire un pont d’or
Que peut-il valoir si chaque soir, je m’endors
Près de toi, si chaque matin je me réveille
Avec pour ciel, tes yeux bleutés qui m’émerveillent ?

.......................merci

Eschyle a écrit:Sentir ta tête au creux de mon épaule
Être chatouillé par tes cheveux frais
Respirer la douceur de ton haleine
Rêver des caresses que tu m'offrais
Goûter la liberté des corps sans chaines
Partager tout : cœur, âme, esprit et corps
Et si nous jouons bien nos rôles
Nous n'aurons pas besoin d'or.

hello Eschyle,
merci pour ce joli huitain qui tombe à point nommé :-)
,
bernard

souhayla assad a écrit:

arkel0 a écrit:Près de toi


Je le reconnais, c’est toi qui avais raison
Rien ne remplace la chaleur d’une maison
Rien ne vaut la douceur de ta main dans la mienne
Si je pars, ce sera à Venise ou à Vienne,
Avec toi, sans meetings, sans projets, sans dossiers
Sans ordinateur, sans contrats à négocier
Je laisse là toutes mes idées chimériques,
Ma folie des grandeurs, mes rêves d’Amérique
Aujourd’hui, en pensant à nous deux, j’ai compris
A temps que ton amour est un joyau sans prix

Je ne pensais qu’à la réussite, au pouvoir
Je voyais au travers d’un prisme déformant
Pour arriver, je ne voulais jamais m’asseoir
Je vois enfin la vie et le monde autrement
Obsédé par l’argent, je ne savais pas voir
Comme toi, la beauté simple du firmament
Mais en pensant à toi, tout a changé ce soir
Les étoiles sont comme un flot de diamants
Posés sur un immense écrin de velours noir
Et offerts pour toujours par le ciel aux amants

Je souris un instant. Tu vois, je fais encore
Malgré moi, quand je te parle, des métaphores
Dignes d’un chercheur d’or ou d’un aventurier
Il faut que je compte tout, comme un usurier
Et dans les rayons de la lumière extérieure,
Le papier sur lequel j’essaie depuis des heures
De t’écrire un poème est toujours ressemblant
A mes yeux de businessman, à un chèque en blanc
Mais maintenant, j’aurai toujours ta douce image
Devant les yeux pour me garder de ces mirages

Je ne voyais que le succès tant désiré
J’avais toujours son éclat trompeur dans les yeux
Comme jadis, la fièvre du métal doré
A fait s’éteindre tant de gens loin de chez eux,
Comme un enfant désire un jouet coloré
En voyant l’oasis si fraîche de tes yeux,
Ce mirage s’est pour de bon évaporé
Vois le soleil, là-bas ; il brille pour nous deux
J’ai compris maintenant que son éclat doré
Qui parvient jusqu'à nous suffit aux amoureux

Ne tremble plus. Ne pleure plus. Sèche tes larmes
Dorénavant, il ne faut plus que tu t’alarmes
Maintenant, ton amour sera le seul sommet
Que j’essaierai de gravir ; je te le promets
Je ne partirai pas à l’autre bout du monde
Je ne veux plus lâcher ta main une seconde
Un émir, loin d’ici, peut me faire un pont d’or
Que peut-il valoir si chaque soir, je m’endors
Près de toi, si chaque matin je me réveille
Avec pour ciel, tes yeux bleutés qui m’émerveillent ?

.......................merci

hello souhayla,
merci pour ton commentaire
bon dimanche
,
bernard

Duo de coeurs pour une vie partagée sous un ciel d'amour...

Amitiés

J'adore
Une lecture a fleur de peau
Une remise en question sans un mots
Choisir l'amour ou la gloire
Sans hésitation il a fait son choix

EsMéralda a écrit:Duo de coeurs pour une vie partagée sous un ciel d'amour...

Amitiés

hello EsMéralda,
merci pour ton commentaire
,
Bernard

HENRY LE POETE a écrit:J'adore
Une lecture a fleur de peau
Une remise en question sans un mots
Choisir l'amour ou la gloire
Sans hésitation il a fait son choix

hello henry,
merci pour le compliment
bonne soirée
,
bernard

PS j'aime beaucoup ta deuxième citation

beau voyage malheureusement n'est plus d'usage