Les merveilles du Monde
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Les merveilles du Monde
Rappel du premier message :
Il se situe en Turquie, dans l'ancienne ville d'Ephèse.
aujour'hui Selcuk, située à 50 km environ au sud d'Izmir.
Le temple d'Artémis (ou Artemision) à Éphèse était
l'un des sanctuaires pan-helléniques les plus sacrés.
Les vestiges les plus anciens mis au jour remontent au milieu du VIIIe siècle
av. J.-C, mais il est certain que le site a servi de sanctuaire bien avant
l'époque à laquelle les fouilles permettent de remonter.
Sur l'emplacement d'un petit temple primitif (8 colonnes sur 4), datant du milieu
du VIIIe siècle av. J.-C., et sans doute incendié lors
des invasions cimmériennes de 640 av. J.-C., fut édifié
au VIIe siècle un nouveau temple, beaucoup plus vaste. Vers le milieu
du VIe siècle, le roi Crésus fit raser la multitude de constructions
qui s'étaient peu à peu agglomérées autour du sanctuaire
et fit élever un nouveau temple. La construction en fut confiée
aux architectes Chersiphron, Métagenète et Théodorôs
de Samos : sur un soubassement de 155 m sur 60, fut élevé
un temple unique dont les 127 colonnes portaient des reliefs sculptés.
Ce temple fut incendié le 6 juillet 356, la
nuit où naquit Alexandre le Grand : ce qui fit dire à un historien
grec « qu'il ne fallait pas s'étonner que ce temple magnifique,
consacré à Diane, eût été brûlé
la nuit même qu'Alexandre vint au monde ; parce que la déesse ayant
voulu assister aux couches d'Olympiae, fut si occupée, qu'elle ne put
éteindre le feu. »
Le feu fut mit au temple de Diane par un certain Erostrate, citoyen obscur d'Ephèse,
un malade mental voulant rendre son nom célèbre. Reconstruit sur
l'ordre d'Alexandre le Grand, le nouveau temple, qui fut compté par les
Anciens parmi les Sept Merveilles du monde, avait des proportions encore plus
gigantesques que le précédent: ses colonnes ioniques, parées
d'or, s'élançaient à plus de 18 m de hauteur. Sur
leur partie inférieure, des scènes à caractère mythologique
avaient été sculptées par les plus grands artistes.
Le temple renfermait un grand nombre d'œuvres de sculpteurs célèbres,
soit contemporains tels Scopas et Praxitèle, soit du siècle précédent
comme Phidias et Polyclète. L'une des plus admirables était une
statue de Zeus par Myron (vers 450 av. J.-C), mais la plus vénérée
était évidemment la statue d'Artémis : la déesse
était représentée la tête entourée d'une sorte
de panier; son corps était recouvert de divers symboles de la fertilité
et son torse, en forme de faîne, était orné de plusieurs
rangées de mamelles. Ce modèle fut reproduit à de multiples
exemplaires dans la statuaire de l'Antiquité; on en conserve quelques
exemples dans les musées de Naples, du Vatican, du Louvre, etc.
Le temple, qui fut achevé vers le milieu du IIIe siècle av. J.-C.,
se retrouva isolé après que Lysimaque, en 287 av. J.-C,
eut décidé de transférer la ville plus au sud.
Néron, le premier, commença d'en piller les trésors; puis,
le sanctuaire fut de nouveau mis à sac par les Goths sous le règne
de Gallien (253-268); enfin, il fut définitivement détruit en 399
de notre ère, comme tous les autres temples païens, sous les règnes
des empereurs Arcadius et Honorius : transformé en une énorme
carrière, ses pierres furent sans doute utilisées pour la construction
de plusieurs églises, dont, peut-être, au moins en partie, Sainte-Sophie
de Constantinople.le temple
d'Artemis à Ephèse
Il se situe en Turquie, dans l'ancienne ville d'Ephèse.
aujour'hui Selcuk, située à 50 km environ au sud d'Izmir.
Le temple d'Artémis (ou Artemision) à Éphèse était
l'un des sanctuaires pan-helléniques les plus sacrés.
Les vestiges les plus anciens mis au jour remontent au milieu du VIIIe siècle
av. J.-C, mais il est certain que le site a servi de sanctuaire bien avant
l'époque à laquelle les fouilles permettent de remonter.
Sur l'emplacement d'un petit temple primitif (8 colonnes sur 4), datant du milieu
du VIIIe siècle av. J.-C., et sans doute incendié lors
des invasions cimmériennes de 640 av. J.-C., fut édifié
au VIIe siècle un nouveau temple, beaucoup plus vaste. Vers le milieu
du VIe siècle, le roi Crésus fit raser la multitude de constructions
qui s'étaient peu à peu agglomérées autour du sanctuaire
et fit élever un nouveau temple. La construction en fut confiée
aux architectes Chersiphron, Métagenète et Théodorôs
de Samos : sur un soubassement de 155 m sur 60, fut élevé
un temple unique dont les 127 colonnes portaient des reliefs sculptés.
Ce temple fut incendié le 6 juillet 356, la
nuit où naquit Alexandre le Grand : ce qui fit dire à un historien
grec « qu'il ne fallait pas s'étonner que ce temple magnifique,
consacré à Diane, eût été brûlé
la nuit même qu'Alexandre vint au monde ; parce que la déesse ayant
voulu assister aux couches d'Olympiae, fut si occupée, qu'elle ne put
éteindre le feu. »
Le feu fut mit au temple de Diane par un certain Erostrate, citoyen obscur d'Ephèse,
un malade mental voulant rendre son nom célèbre. Reconstruit sur
l'ordre d'Alexandre le Grand, le nouveau temple, qui fut compté par les
Anciens parmi les Sept Merveilles du monde, avait des proportions encore plus
gigantesques que le précédent: ses colonnes ioniques, parées
d'or, s'élançaient à plus de 18 m de hauteur. Sur
leur partie inférieure, des scènes à caractère mythologique
avaient été sculptées par les plus grands artistes.
Le temple renfermait un grand nombre d'œuvres de sculpteurs célèbres,
soit contemporains tels Scopas et Praxitèle, soit du siècle précédent
comme Phidias et Polyclète. L'une des plus admirables était une
statue de Zeus par Myron (vers 450 av. J.-C), mais la plus vénérée
était évidemment la statue d'Artémis : la déesse
était représentée la tête entourée d'une sorte
de panier; son corps était recouvert de divers symboles de la fertilité
et son torse, en forme de faîne, était orné de plusieurs
rangées de mamelles. Ce modèle fut reproduit à de multiples
exemplaires dans la statuaire de l'Antiquité; on en conserve quelques
exemples dans les musées de Naples, du Vatican, du Louvre, etc.
Le temple, qui fut achevé vers le milieu du IIIe siècle av. J.-C.,
se retrouva isolé après que Lysimaque, en 287 av. J.-C,
eut décidé de transférer la ville plus au sud.
Néron, le premier, commença d'en piller les trésors; puis,
le sanctuaire fut de nouveau mis à sac par les Goths sous le règne
de Gallien (253-268); enfin, il fut définitivement détruit en 399
de notre ère, comme tous les autres temples païens, sous les règnes
des empereurs Arcadius et Honorius : transformé en une énorme
carrière, ses pierres furent sans doute utilisées pour la construction
de plusieurs églises, dont, peut-être, au moins en partie, Sainte-Sophie
de Constantinople.le temple
d'Artemis à Ephèse
fayssal morad- Nombre de messages : 840
Date d'inscription : 12/03/2010
Château fort de Lourdes
Château fort de Lourdes
Lourdes est surtout connue pour sa fameuse grotte qui attire de
nombreux pèlerins tout au long de l’année. Mais dressé au milieu de la
cité sur un escarpement de granit depuis plus de mille ans, le Château
Fort de Lourdes est un édifice touristique à ne surtout pas manquer.
Gardien des sept vallées du Lavedan, la forteresse a été construite
sur un site occupé jadis par les romains. Elle fut assiégée par
Charlemagne en 778, à la même période que la célèbre Bataille de
Roncevaux, puis devint la résidence des Comtes de Bigorre au 11ème et
12ème siècles.
Le Château Fort passa entre de nombreuses mains par la suite.
Propriété des Comtes de Champagne au 13ème siècle, il passera sera cédé
aux anglais en 1360 avant de revenir à à la couronne de France au 15ème
siècle.
Au 17ème siècle le Château Fort de Lourdes ne sera plus considéré
comme une place forte stratégique et deviendra une prison. Et en 1921
les salles de la forteresse abriteront le Musée Pyrénéen.
De passage à Lourdes les visiteurs pourront donc admirer cette
citadelle imprenable qui domine la ville et qui est le témoin de son
histoire entre le 8ème et le 20ème siècle.
On y découvrira son pont-levis, la citerne, la porte fortifiée et sa
herse et le donjon massif qui date du 14ème siècle. Plusieurs fois
remanié au cours des siècles, le Château Fort fut consolidé par Vauban
en 1685. En se promenant sur le chemin de ronde vous aurez un excellent
point de vue sur la ville de Lourdes et les Pyrénées à l’horizon.
Au pied du donjon vous pourrez vous promener dans le magnifique
jardin botanique et entrer dans le Musée Pyrénéen, le plus grand musée
d’arts et de traditions populaires de la région.
Le musée conserve plus de 3000 objets retraçant la vie quotidienne
dans les vallées pyrénéennes au cours des 19ème et 20ème siècles, et
plus de 2000 objets et documents qui vous donneront envie de découvrir
les Pyrénées et partir à la conquête de leurs sommets.
Lourdes est surtout connue pour sa fameuse grotte qui attire de
nombreux pèlerins tout au long de l’année. Mais dressé au milieu de la
cité sur un escarpement de granit depuis plus de mille ans, le Château
Fort de Lourdes est un édifice touristique à ne surtout pas manquer.
Gardien des sept vallées du Lavedan, la forteresse a été construite
sur un site occupé jadis par les romains. Elle fut assiégée par
Charlemagne en 778, à la même période que la célèbre Bataille de
Roncevaux, puis devint la résidence des Comtes de Bigorre au 11ème et
12ème siècles.
Le Château Fort passa entre de nombreuses mains par la suite.
Propriété des Comtes de Champagne au 13ème siècle, il passera sera cédé
aux anglais en 1360 avant de revenir à à la couronne de France au 15ème
siècle.
Au 17ème siècle le Château Fort de Lourdes ne sera plus considéré
comme une place forte stratégique et deviendra une prison. Et en 1921
les salles de la forteresse abriteront le Musée Pyrénéen.
De passage à Lourdes les visiteurs pourront donc admirer cette
citadelle imprenable qui domine la ville et qui est le témoin de son
histoire entre le 8ème et le 20ème siècle.
On y découvrira son pont-levis, la citerne, la porte fortifiée et sa
herse et le donjon massif qui date du 14ème siècle. Plusieurs fois
remanié au cours des siècles, le Château Fort fut consolidé par Vauban
en 1685. En se promenant sur le chemin de ronde vous aurez un excellent
point de vue sur la ville de Lourdes et les Pyrénées à l’horizon.
Au pied du donjon vous pourrez vous promener dans le magnifique
jardin botanique et entrer dans le Musée Pyrénéen, le plus grand musée
d’arts et de traditions populaires de la région.
Le musée conserve plus de 3000 objets retraçant la vie quotidienne
dans les vallées pyrénéennes au cours des 19ème et 20ème siècles, et
plus de 2000 objets et documents qui vous donneront envie de découvrir
les Pyrénées et partir à la conquête de leurs sommets.
chayma- Nombre de messages : 512
Date d'inscription : 05/06/2008
Le Krak des Chevaliers
Le Krak des Chevaliers
Le Krak des Chevaliers est un château fort qui a marqué l’époque des
croisades. Situé dans l’ouest de la Syrie, dans le djebel Ansariyya, le
Krak des Chevaliers domine la plaine d’El-Bukeia, un point stratégique
sur les routes reliant Homs, Tortose (ou Tartous), Antioche, Tripoli et
Beyrouth.
Le site fut occupé depuis fort longtemps comme l’en atteste la
bataille de Qadesh entre les égyptiens et les Hittites en 1214 avant
J.C., à 50 kilomètres environ du Krach. Mais c’est pendant l’occupation
musulman que la forteresse se développa, remaniant les fortifications
byzantines.
Avec l’arrivée au pouvoir de Al Hakim, dit le “calife fou”, une
vague de persécution contre les chrétiens d’orient se produit au début
du 11ème siècle, ce qui sera à l’origine les croisades organisées pour
reconquérir Jérusalem.
C’est en 1099 qu’arrive la première croisade dans l’objectif de
prendre Jerusalem. La citadelle que l’on appelée à l’époque “Forteresse
des kurdes” tombera après plusieurs assauts en 1110. Rapidement les
armées chrétiennes comprirent l’importance de ce point stratégique qui
fut confier en 1142 à la garde des Hospitaliers. C’est à partir de ce
moment que la citadelle sera connue comme le Krach des Chevaliers.
Mais en 1271, le fort tomba entre les mains de Baybars Ier, Sultan
des Mamelouks, après avoir résisté à de nombreuses attaques durant près
de 130 années, repoussant même les assauts du valeureux Saladin.
Aujourd’hui le Krak des chevaliers est sans doute le plus célèbre
ouvrage défensif d’orient. C’est l’un des châteaux de l’époque des
croisés les plus prestigieux et les mieux conservés.
En découvrant cette forteresse on imagine immédiatement les récits
de nos livres d’histoire et les films retraçant les grandes épopées des
chevaliers. En entrant dans le fort par une rampe voutée on découvre
les salles de garde, les écuries, le fossé séparant les deux enceintes
fortifiées, les tours, les vestiges d’un hammam, un très beau cloître,
la Salle des Chevaliers couverte de voutes en ogives, et en se
promenant sur le chemin de garde, sur les murs extérieurs, on peut
découvrir l’ensemble de la citadelle d’un côté et le magnifique paysage
de la “trouée de Homs”.
Le Krak des Chevaliers est un château fort qui a marqué l’époque des
croisades. Situé dans l’ouest de la Syrie, dans le djebel Ansariyya, le
Krak des Chevaliers domine la plaine d’El-Bukeia, un point stratégique
sur les routes reliant Homs, Tortose (ou Tartous), Antioche, Tripoli et
Beyrouth.
Le site fut occupé depuis fort longtemps comme l’en atteste la
bataille de Qadesh entre les égyptiens et les Hittites en 1214 avant
J.C., à 50 kilomètres environ du Krach. Mais c’est pendant l’occupation
musulman que la forteresse se développa, remaniant les fortifications
byzantines.
Avec l’arrivée au pouvoir de Al Hakim, dit le “calife fou”, une
vague de persécution contre les chrétiens d’orient se produit au début
du 11ème siècle, ce qui sera à l’origine les croisades organisées pour
reconquérir Jérusalem.
C’est en 1099 qu’arrive la première croisade dans l’objectif de
prendre Jerusalem. La citadelle que l’on appelée à l’époque “Forteresse
des kurdes” tombera après plusieurs assauts en 1110. Rapidement les
armées chrétiennes comprirent l’importance de ce point stratégique qui
fut confier en 1142 à la garde des Hospitaliers. C’est à partir de ce
moment que la citadelle sera connue comme le Krach des Chevaliers.
Mais en 1271, le fort tomba entre les mains de Baybars Ier, Sultan
des Mamelouks, après avoir résisté à de nombreuses attaques durant près
de 130 années, repoussant même les assauts du valeureux Saladin.
Aujourd’hui le Krak des chevaliers est sans doute le plus célèbre
ouvrage défensif d’orient. C’est l’un des châteaux de l’époque des
croisés les plus prestigieux et les mieux conservés.
En découvrant cette forteresse on imagine immédiatement les récits
de nos livres d’histoire et les films retraçant les grandes épopées des
chevaliers. En entrant dans le fort par une rampe voutée on découvre
les salles de garde, les écuries, le fossé séparant les deux enceintes
fortifiées, les tours, les vestiges d’un hammam, un très beau cloître,
la Salle des Chevaliers couverte de voutes en ogives, et en se
promenant sur le chemin de garde, sur les murs extérieurs, on peut
découvrir l’ensemble de la citadelle d’un côté et le magnifique paysage
de la “trouée de Homs”.
chayma- Nombre de messages : 512
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Humeur : Printanière
Date d'inscription : 05/06/2008
Disneyland Tokyo
Disneyland Tokyo
Le parc d’attraction de Tokyo Disneyland est le premier parc de
l’entreprise Disney construit en dehors des États-Unis. Le Tokyo Disney
Resort a ouvert ses portes 1983 et reprend comme édifice principal le
célèbre Château de Cendrillon.
Disneyland Tokyo est organisé en plusieurs secteurs appelés “pays”,
les “lands”, et de nombreux spectacles y sont produits selon les
saisons. La grande parade de Disney sort de Fantasyland pour rejoindre
Toontown en passant par la place principale.
World Bazaar est recouvert d’une immense verrière pour protéger les
visiteurs des intempéries. La Rue principalle s’appelle Center Street
et c’est par cet accès que les visiteurs pourront entrer à Tomorrowland
et à Adventureland.
Aventureland dépeint un monde exotique avec des voyages sous les
tropiques. On partira à la découverte des Pirates des Caraïbes, des
paysages de la jungle africaine et des décors de la Nouvelle Orléans.
De nombreux restaurants et boutiques vous feront goûter aux délices de
la cuisine de la Louisiane, de la Chine ou de la Polynésie.
Si le Westernland montre aux visiteurs du Tokyo Disneyland des
attractions plus classiques du Japon, on y trouvera comme au
Frontierland un spectacle de french cancan au Diamond Horseshoe Revue,
des bars et des restaurants avec un décor de western ou un train qui
part de la montagne de Big Thunder Mountain pour traverser une mine
d’or dans un décor semblable à celui du Grand Canyon.
Splash Mountain est une des attractions préférées des visiteurs qui
feront un plongeon du haut de la montagne dans une chute d’eau.
Toontown présente les personnages les plus connus de Disney. A bord
du Jolly Trolley on découvrira Roger Rabbit, Mickey Mouse, Donald et
Goofy dans leur monde enchanté.
Tomorrowland est consacré au futur avec le fameux Space Mountain,
des montagnes russes dans l’obscurité. Star Tours vous fera découvrir
le monde de Star Wars, Grand Circuit Raceway vous propose sa piste de
voitures de course.
Mais le pays le plus célèbre c’est Fantasyland, un monde de contes
de fées avec le Château de Cendrillon, les Aristochats, Blanche-Neige
et les Septs Nains, Peter Pan, Pinocchio, Dumbo ou Alice. Vous pourrez
combattre les forces du mal dans le Cinderella Castle Mystery Tour.
Le parc d’attraction de Tokyo Disneyland est le premier parc de
l’entreprise Disney construit en dehors des États-Unis. Le Tokyo Disney
Resort a ouvert ses portes 1983 et reprend comme édifice principal le
célèbre Château de Cendrillon.
Disneyland Tokyo est organisé en plusieurs secteurs appelés “pays”,
les “lands”, et de nombreux spectacles y sont produits selon les
saisons. La grande parade de Disney sort de Fantasyland pour rejoindre
Toontown en passant par la place principale.
World Bazaar est recouvert d’une immense verrière pour protéger les
visiteurs des intempéries. La Rue principalle s’appelle Center Street
et c’est par cet accès que les visiteurs pourront entrer à Tomorrowland
et à Adventureland.
Aventureland dépeint un monde exotique avec des voyages sous les
tropiques. On partira à la découverte des Pirates des Caraïbes, des
paysages de la jungle africaine et des décors de la Nouvelle Orléans.
De nombreux restaurants et boutiques vous feront goûter aux délices de
la cuisine de la Louisiane, de la Chine ou de la Polynésie.
Si le Westernland montre aux visiteurs du Tokyo Disneyland des
attractions plus classiques du Japon, on y trouvera comme au
Frontierland un spectacle de french cancan au Diamond Horseshoe Revue,
des bars et des restaurants avec un décor de western ou un train qui
part de la montagne de Big Thunder Mountain pour traverser une mine
d’or dans un décor semblable à celui du Grand Canyon.
Splash Mountain est une des attractions préférées des visiteurs qui
feront un plongeon du haut de la montagne dans une chute d’eau.
Toontown présente les personnages les plus connus de Disney. A bord
du Jolly Trolley on découvrira Roger Rabbit, Mickey Mouse, Donald et
Goofy dans leur monde enchanté.
Tomorrowland est consacré au futur avec le fameux Space Mountain,
des montagnes russes dans l’obscurité. Star Tours vous fera découvrir
le monde de Star Wars, Grand Circuit Raceway vous propose sa piste de
voitures de course.
Mais le pays le plus célèbre c’est Fantasyland, un monde de contes
de fées avec le Château de Cendrillon, les Aristochats, Blanche-Neige
et les Septs Nains, Peter Pan, Pinocchio, Dumbo ou Alice. Vous pourrez
combattre les forces du mal dans le Cinderella Castle Mystery Tour.
chayma- Nombre de messages : 512
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Date d'inscription : 05/06/2008
Re: Les merveilles du Monde
Lac Rotorua
Au nord de la Nouvelle-Zélande on découvrira le Lac Rotorua dans un
ancien cratère de volcan, entouré de paysages magnifiques avec ses
volcans et ses geysers, ses lacs, ses forêts luxuriantes et ses plaines
colorées.
Au centre du lac Mokoia Island est l’île sacrée des Maoris d’où
viennent les plus célèbres légendes de la Nouvelle-Zélande comme celle
d’Hinemoa et Tutanekai.
Sur la rive sud, se trouve la petite ville de Rotorua qui, avec des
65 000 habitants, ressemble à une station balnéaire avec ses bars et
restaurants au nord du lac, ses magasins de souvenirs et surtout, ses
thermes qui sont le principal attrait de la région.
En effet, Rotorua est surtout connue pour l’activité géothermique de la
région avec ses geysers dont le plus connu est le Pohutu à
Whakarewarewa, ses cratères fumants à l’odeur de soufre, et des bassins
de boues chaudes dans la ville même.
En plein coeur des terres des Maoris, Rotorua est surnommée la
“ville du soufre” et de nombreux touristes viennent y profiter des
vertus curatives de ses eaux, notamment dans le Parc Thermal Hell’s
Gate, la réserve géothermique la plus active de la région.
Le Polynesian Spa, une source d’eau chaude minérale, est l’endroit
idéal pour recevoir des soins corporels avant ou après une randonnée au
coeur des paysages magnifiques du lac Rotorua.
On pourra visiter le parc naturel de Rainbow Springs avec sa flore
et sa faune typique comme le curieux kiwi, l’oiseau emblème de la
Nouvelle-Zélande, la vallée thermale de Whakarewarewa est ses puissant
geysers, et on y découvrira la culture maorie.
Au sud de Rotorua vous vous rendrez au parc thermal de Wai-O-Tapu,
célèbre pour son geyser Lady Knox et ses petits cratères remplies
d’eaux colorées comme la Champagne pool de couleur bleu clair, la
Palette de couleur jaune et autres bassins teintés d’orange, de marron,
de vert ou de gris en fonction des minéraux qu’ils contiennent.
Vous aurez également la possibilité de survoler la région en
hydravion pour découvrir le Lac Rotorua vu du ciel et les autres lacs
bleus et verts. En poursuivant vers le nord on survolera les montagnes
volcaniques pour découvrir White Island, un volcan en activité en
pleine mer dans la baie de Plenty.
Au nord de la Nouvelle-Zélande on découvrira le Lac Rotorua dans un
ancien cratère de volcan, entouré de paysages magnifiques avec ses
volcans et ses geysers, ses lacs, ses forêts luxuriantes et ses plaines
colorées.
Au centre du lac Mokoia Island est l’île sacrée des Maoris d’où
viennent les plus célèbres légendes de la Nouvelle-Zélande comme celle
d’Hinemoa et Tutanekai.
Sur la rive sud, se trouve la petite ville de Rotorua qui, avec des
65 000 habitants, ressemble à une station balnéaire avec ses bars et
restaurants au nord du lac, ses magasins de souvenirs et surtout, ses
thermes qui sont le principal attrait de la région.
En effet, Rotorua est surtout connue pour l’activité géothermique de la
région avec ses geysers dont le plus connu est le Pohutu à
Whakarewarewa, ses cratères fumants à l’odeur de soufre, et des bassins
de boues chaudes dans la ville même.
En plein coeur des terres des Maoris, Rotorua est surnommée la
“ville du soufre” et de nombreux touristes viennent y profiter des
vertus curatives de ses eaux, notamment dans le Parc Thermal Hell’s
Gate, la réserve géothermique la plus active de la région.
Le Polynesian Spa, une source d’eau chaude minérale, est l’endroit
idéal pour recevoir des soins corporels avant ou après une randonnée au
coeur des paysages magnifiques du lac Rotorua.
On pourra visiter le parc naturel de Rainbow Springs avec sa flore
et sa faune typique comme le curieux kiwi, l’oiseau emblème de la
Nouvelle-Zélande, la vallée thermale de Whakarewarewa est ses puissant
geysers, et on y découvrira la culture maorie.
Au sud de Rotorua vous vous rendrez au parc thermal de Wai-O-Tapu,
célèbre pour son geyser Lady Knox et ses petits cratères remplies
d’eaux colorées comme la Champagne pool de couleur bleu clair, la
Palette de couleur jaune et autres bassins teintés d’orange, de marron,
de vert ou de gris en fonction des minéraux qu’ils contiennent.
Vous aurez également la possibilité de survoler la région en
hydravion pour découvrir le Lac Rotorua vu du ciel et les autres lacs
bleus et verts. En poursuivant vers le nord on survolera les montagnes
volcaniques pour découvrir White Island, un volcan en activité en
pleine mer dans la baie de Plenty.
chayma- Nombre de messages : 512
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Date d'inscription : 05/06/2008
Rome
Rome
Découvrir
la Ville éternelle le genre de petit
plaisir qui ne se refuse pas. 400 églises de Rome,300 fontaines, monuments et palais
de toutes les époques
Presque trois fois millénaire Rome est une ville exceptionnelle avec
ses vestiges datant de l’Empire Romain, ses palais médiévaux et
renaissance ou la magnifique Cité du Vatican.
En remontant plus de deux mille ans on
découvre le mont Palatin, la terrasse du Capitole, le Forum Romain,
le superbe Colisée de Rome ou les thermes de Caracalla, les plus grands de la Cité Romaine.
De l’Empire Romain et païen de Jules César on passe la Rome
chrétienne en visitant la Cité du Vatican, petit État au coeur de la
capitale de l’Italie. Autour de la fameuse Place Saint Pierre on
admirera la Basilique Saint-Pierre, la magnifique Chapelle Sixtine et
les magnifiques fresques de Michel Ange ou le très riche Musée du
Vatican.
On ne pourra pas partir de Rome sans visiter ses nombreuses églises
et en particulier la Basilique Saint-Jean de Latran. Première église de
la ville, elle est le Siège de l’évêché de Rome. Construite sous le
règne de l’empereur Constantin elle est considérée comme la Mère de
toutes les églises du monde.
La
Piazza di Spagna est une des nombreuses et admirables places de la
ville. Celle-ci est sans doute la plus romantique avec son magnifique
escalier qui monte jusqu’à l’église de la Trinité des Monts. C’est dans
ce quartier que vous découvrirez la très belle basilique Santa Maggiore
et la très célèbre Fontaine de Trévi.
La Fontaine de Trévi, adossée à un superbe palais baroque, est une
véritable oeuvre d’art. Elle représente le dieu des océans sur son char
mené par des tritons et des chevaux. Vous ferez sans doute comme la
plupart des touristes qui se pressent autour de la fontaine et qui, le
dos tourné jettent par dessus leur épaule une pièce de monnaie en
faisant le voeu de revenir un jour à Rome.
Il faut dire qu’un week-end à Rome ne sera sans doute pas suffisant
pour découvrir tous les trésors de la ville comme la Piazza Navona et
le grandiose Panthéon construit par l’empereur Adrien en 118, le
Palazzo Doria Pamphilj et son architecture époustouflante où l’on
découvrira de magnifiques oeuvres d’art.
Découvrir
la Ville éternelle le genre de petit
plaisir qui ne se refuse pas. 400 églises de Rome,300 fontaines, monuments et palais
de toutes les époques
Presque trois fois millénaire Rome est une ville exceptionnelle avec
ses vestiges datant de l’Empire Romain, ses palais médiévaux et
renaissance ou la magnifique Cité du Vatican.
En remontant plus de deux mille ans on
découvre le mont Palatin, la terrasse du Capitole, le Forum Romain,
le superbe Colisée de Rome ou les thermes de Caracalla, les plus grands de la Cité Romaine.
De l’Empire Romain et païen de Jules César on passe la Rome
chrétienne en visitant la Cité du Vatican, petit État au coeur de la
capitale de l’Italie. Autour de la fameuse Place Saint Pierre on
admirera la Basilique Saint-Pierre, la magnifique Chapelle Sixtine et
les magnifiques fresques de Michel Ange ou le très riche Musée du
Vatican.
On ne pourra pas partir de Rome sans visiter ses nombreuses églises
et en particulier la Basilique Saint-Jean de Latran. Première église de
la ville, elle est le Siège de l’évêché de Rome. Construite sous le
règne de l’empereur Constantin elle est considérée comme la Mère de
toutes les églises du monde.
La
Piazza di Spagna est une des nombreuses et admirables places de la
ville. Celle-ci est sans doute la plus romantique avec son magnifique
escalier qui monte jusqu’à l’église de la Trinité des Monts. C’est dans
ce quartier que vous découvrirez la très belle basilique Santa Maggiore
et la très célèbre Fontaine de Trévi.
La Fontaine de Trévi, adossée à un superbe palais baroque, est une
véritable oeuvre d’art. Elle représente le dieu des océans sur son char
mené par des tritons et des chevaux. Vous ferez sans doute comme la
plupart des touristes qui se pressent autour de la fontaine et qui, le
dos tourné jettent par dessus leur épaule une pièce de monnaie en
faisant le voeu de revenir un jour à Rome.
Il faut dire qu’un week-end à Rome ne sera sans doute pas suffisant
pour découvrir tous les trésors de la ville comme la Piazza Navona et
le grandiose Panthéon construit par l’empereur Adrien en 118, le
Palazzo Doria Pamphilj et son architecture époustouflante où l’on
découvrira de magnifiques oeuvres d’art.
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
loisirs : écrire, marcher,voyager
Humeur : changeante !
Date d'inscription : 22/06/2008
e Mont Saint-Michel
Le Mont Saint-Michel
Le Mont Saint-Michel est une petite commune de France située sur un
îlot rocheux dans la Manche à 60 kilomètres de Saint-Malo et de Rennes.
Chaque année ce sont plus de 3 millions de visiteurs qui viennent
découvrir la célèbre abbaye du Mont Saint-Michel qui se dresse sur cet
îlot au milieu de la Baie du même nom.
Le sanctuaire dédié à l’archange saint Michel a été construit dès
l’année 709 par l’évêque saint Aubert d’Avranches sur une petite île de
960 mètres de circonférences. Le point culminant de l’îlot est de 92
mètres mais la statue de Saint Michel qui se trouve au sommet de
l’église culmine à 170 mètres au dessus du niveau de la mer.
Depuis la construction de l’abbaye au 8ème siècle le Mont
Saint-Michel est devenu un lieu de pèlerinage très important en France.
Cette abbaye que l’on nomme parfois La Merveille est un magnifique
édifice gothique de trois niveaux.
L’abbaye ayant été construite et modifiée durant plusieurs siècles, on
y découvrira différents styles d’architecture comme le carolingien, le
roman et le gothique. L’église abbatiale édifiée en 966 a pratiquement
été absorbée par les autres constructions. On la nomme “Notre-Dame Sous
Terre”.
Pour accueillir les pèlerins toujours plus nombreux une nouvelle
église abbatiale fut construite au 11ème siècle. trois étages de
bâtiments furent édifiés dont une aumônerie, la salle de l’Aquilon,
destinée à recevoir les pèlerins.
La Merveille se compose de deux parties : la partie est avec ses
trois salles, l’Aumônerie, la Salle des hôtes et le Réfectoire, et la
partie ouest avec le Cellier la Salle des Chevaliers et le Cloître.
le Cloître est un véritable jardin au dessus de la mer avec ses
trois arches ouvertes sur le vide et ses colonnettes entourant des
carrés de plantes médicinales, d’herbes aromatiques et de fleurs.
Le Mont Saint-Michel avec son unique rue qui monte jusqu’à l’abbaye
est une cité fortifiée. On découvrira en longeant les remparts
plusieurs tours et un chemin de ronde.
Après avoir visiter le village, vous pourrez découvrir la Baie du
Mont Saint-Michel et ses marées impressionnantes. Des balades à cheval
ou à pied sont possibles dans la baie, mais il faudra faire attention
aux horaires des marées et aux sables mouvants.
Le Mont Saint-Michel est une petite commune de France située sur un
îlot rocheux dans la Manche à 60 kilomètres de Saint-Malo et de Rennes.
Chaque année ce sont plus de 3 millions de visiteurs qui viennent
découvrir la célèbre abbaye du Mont Saint-Michel qui se dresse sur cet
îlot au milieu de la Baie du même nom.
Le sanctuaire dédié à l’archange saint Michel a été construit dès
l’année 709 par l’évêque saint Aubert d’Avranches sur une petite île de
960 mètres de circonférences. Le point culminant de l’îlot est de 92
mètres mais la statue de Saint Michel qui se trouve au sommet de
l’église culmine à 170 mètres au dessus du niveau de la mer.
Depuis la construction de l’abbaye au 8ème siècle le Mont
Saint-Michel est devenu un lieu de pèlerinage très important en France.
Cette abbaye que l’on nomme parfois La Merveille est un magnifique
édifice gothique de trois niveaux.
L’abbaye ayant été construite et modifiée durant plusieurs siècles, on
y découvrira différents styles d’architecture comme le carolingien, le
roman et le gothique. L’église abbatiale édifiée en 966 a pratiquement
été absorbée par les autres constructions. On la nomme “Notre-Dame Sous
Terre”.
Pour accueillir les pèlerins toujours plus nombreux une nouvelle
église abbatiale fut construite au 11ème siècle. trois étages de
bâtiments furent édifiés dont une aumônerie, la salle de l’Aquilon,
destinée à recevoir les pèlerins.
La Merveille se compose de deux parties : la partie est avec ses
trois salles, l’Aumônerie, la Salle des hôtes et le Réfectoire, et la
partie ouest avec le Cellier la Salle des Chevaliers et le Cloître.
le Cloître est un véritable jardin au dessus de la mer avec ses
trois arches ouvertes sur le vide et ses colonnettes entourant des
carrés de plantes médicinales, d’herbes aromatiques et de fleurs.
Le Mont Saint-Michel avec son unique rue qui monte jusqu’à l’abbaye
est une cité fortifiée. On découvrira en longeant les remparts
plusieurs tours et un chemin de ronde.
Après avoir visiter le village, vous pourrez découvrir la Baie du
Mont Saint-Michel et ses marées impressionnantes. Des balades à cheval
ou à pied sont possibles dans la baie, mais il faudra faire attention
aux horaires des marées et aux sables mouvants.
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
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Place Saint-Marc à Venise
Place Saint-Marc à Venise
La place Saint-Marc de Venise est un des lieux les plus romantiques
au monde. Au bord du Grand Canal, avec la basilique Saint-Marc, le
campanile et le palais des Doges, la Place Saint-Marc a conservé le
style de la République de Venise, centre du commerce méditerranéen.
La Piazza San Marco est bordée par des arcades sous lesquelles on y
trouve des boutiques de luxe et des cafés renommés comme le célèbre
Café Florian qui date de 1720.
Au nord de la place on découvrira la Tour de l’Horloge au dessus de la
porte qui mène à la Via dei Mercerie et vers le Pont du Rialto.
A l’ouest on découvre l’Aile Napoléonienne qui ferme la place Saint-Marc.
Au sud on découvrira la Libreria Vecchia, connue aussi sous le nom de Bibliothèque Marciana.
A l’est se dresse la très belle Basilique Saint-Marc et le
magnifique Palais des Doges dominés par le Campanile du sommet duquel
vous aurez une magnifique vue sur la Place.
C’est en passant entre le Campanile et le Palais des Doges que l’on
rejoint le Grand Canal où vous attendent les gondoles pour une balade
romantique à Venise.
La place Saint-Marc de Venise est un des lieux les plus romantiques
au monde. Au bord du Grand Canal, avec la basilique Saint-Marc, le
campanile et le palais des Doges, la Place Saint-Marc a conservé le
style de la République de Venise, centre du commerce méditerranéen.
La Piazza San Marco est bordée par des arcades sous lesquelles on y
trouve des boutiques de luxe et des cafés renommés comme le célèbre
Café Florian qui date de 1720.
Au nord de la place on découvrira la Tour de l’Horloge au dessus de la
porte qui mène à la Via dei Mercerie et vers le Pont du Rialto.
A l’ouest on découvre l’Aile Napoléonienne qui ferme la place Saint-Marc.
Au sud on découvrira la Libreria Vecchia, connue aussi sous le nom de Bibliothèque Marciana.
A l’est se dresse la très belle Basilique Saint-Marc et le
magnifique Palais des Doges dominés par le Campanile du sommet duquel
vous aurez une magnifique vue sur la Place.
C’est en passant entre le Campanile et le Palais des Doges que l’on
rejoint le Grand Canal où vous attendent les gondoles pour une balade
romantique à Venise.
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
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Le Musée du Louvre
Le Musée du Louvre
Le Musée du Louvre à Paris est un des plus beau musées du monde,
tant pour son architecture que pour la richesse de ses collections.
Chaque année se sont plus de 8 millions de personnes qui le visitent,
ce qui fait du Louvre le musée le plus visité au monde.
En plein coeur de Paris, entre la Seine et la rue de Rivoli, le
Musée du Louvre se trouve dans un ancien palais royal construit par
François Ier sur l’ancien château fort du roi Philippe Auguste qui
l’avait fait bâtir en 1190. Le Palais Royal allait s’agrandir sous les
règnes des rois Henri II et Charles X, puis Henri IV qui unira le
Palais des Tuileries construit par Catherine de Médicis, Louis XIII qui
sera à l’origine de la Cour Carrée et Louis XIV qui fera étendre la
Cour de la Renaissance.
C’est avec la Révolution française que le musée sera créé dans
l’ancien Palais Royal. Cependant le Louvre allait devenir le 3ème musée
du monde en superficie grâce au président François Mitterand qui décida
d’entreprendre d’importants travaux tout en récupérant l’Aile Richelieu
pour accroître sa capacité.
Mais l’oeuvre magistrale de tous ces travaux, décriée par les uns et
plébiscitée par les autres, ce fut la construction de la Pyramide du
Louvre, une pyramide de verre et de métal, située au milieu de la cour
Napoléon, conçue l’architecte Ieoh Ming Pei.
Cette pyramide de 20 mètres de haut pour une base de 35 mètres est
constituée de 673 plaques vitrées et quand elle est illuminée la nuit
au milieu du Palais du Louvre, elle semble symbolisée la magnificence
des collections exposées dans ce musée.
Les pièces exposées au Louvre sont très variées et de toute beauté.
On y trouve des peintures de tous les siècles, des sculptures de toutes
les civilisations, des dessins et divers objets archéologiques.
Les oeuvres les plus connues au Louvre et qui attirent des milliers
de touristes chaque jour sont la Vénus de Milo, la très célèbre Joconde
de Léonard de Vinci ou une peinture très symbolique pour la République
française, celle d’Eugène Delacroix qui nous montre La Liberté Guidant
le peuple.
Les passionnés d’archéologie seront comblés au Louvre avec
l’exposition de nombreuses antiquités rapportées de Mésopotamie, de
Perse, d’Inde, de Grèce, et d’Italie. Mais la collection la plus
éblouissante est peut-être celle des antiquités égyptiennes avec de
magnifiques statues ramenées d’Egypte du temps des campagnes de
Napoléon.
Le Musée du Louvre à Paris est un des plus beau musées du monde,
tant pour son architecture que pour la richesse de ses collections.
Chaque année se sont plus de 8 millions de personnes qui le visitent,
ce qui fait du Louvre le musée le plus visité au monde.
En plein coeur de Paris, entre la Seine et la rue de Rivoli, le
Musée du Louvre se trouve dans un ancien palais royal construit par
François Ier sur l’ancien château fort du roi Philippe Auguste qui
l’avait fait bâtir en 1190. Le Palais Royal allait s’agrandir sous les
règnes des rois Henri II et Charles X, puis Henri IV qui unira le
Palais des Tuileries construit par Catherine de Médicis, Louis XIII qui
sera à l’origine de la Cour Carrée et Louis XIV qui fera étendre la
Cour de la Renaissance.
C’est avec la Révolution française que le musée sera créé dans
l’ancien Palais Royal. Cependant le Louvre allait devenir le 3ème musée
du monde en superficie grâce au président François Mitterand qui décida
d’entreprendre d’importants travaux tout en récupérant l’Aile Richelieu
pour accroître sa capacité.
Mais l’oeuvre magistrale de tous ces travaux, décriée par les uns et
plébiscitée par les autres, ce fut la construction de la Pyramide du
Louvre, une pyramide de verre et de métal, située au milieu de la cour
Napoléon, conçue l’architecte Ieoh Ming Pei.
Cette pyramide de 20 mètres de haut pour une base de 35 mètres est
constituée de 673 plaques vitrées et quand elle est illuminée la nuit
au milieu du Palais du Louvre, elle semble symbolisée la magnificence
des collections exposées dans ce musée.
Les pièces exposées au Louvre sont très variées et de toute beauté.
On y trouve des peintures de tous les siècles, des sculptures de toutes
les civilisations, des dessins et divers objets archéologiques.
Les oeuvres les plus connues au Louvre et qui attirent des milliers
de touristes chaque jour sont la Vénus de Milo, la très célèbre Joconde
de Léonard de Vinci ou une peinture très symbolique pour la République
française, celle d’Eugène Delacroix qui nous montre La Liberté Guidant
le peuple.
Les passionnés d’archéologie seront comblés au Louvre avec
l’exposition de nombreuses antiquités rapportées de Mésopotamie, de
Perse, d’Inde, de Grèce, et d’Italie. Mais la collection la plus
éblouissante est peut-être celle des antiquités égyptiennes avec de
magnifiques statues ramenées d’Egypte du temps des campagnes de
Napoléon.
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
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Le Taj Mahal
Le Taj Mahal
Le Taj Mahal, au bord de la Yamuna à quelques kilomètres d’Agra, est
un des sites touristiques de l’Inde les plus fréquentés. Ce qui semble
être un merveilleux palais des mille et une nuit est en fait un
mausolée de marbre blanc construit par l’empereur Shah Jahan pour son
épouse Muntaz Mahal.
Fou de douleur à la suite du décès de sa femme le 17 juin 1631 alors
qu’elle donnait le jour à son 14ème enfant, Shah Jahan décida de lui
faire construire la plus belle des sépultures. Pour sa réalisation
l’empereur fit travailler plus de 20 000 ouvriers et fit venir des
artistes d’Europe et d’Asie travaillant sous la direction d’un
architecte de Lahore, Usad Ahmad.
La construction du Taj Mahal aurait duré plus de 10 ans et Shah
Jahan avait prévu de construire un mausolée identique mais en marbre
noir sur la rive opposée de la Yamuna. Mais son fils, voyant les
richesses du trésor impérial fondre à grande vitesse, l’en empêcha et
Shah Jahan fut enterré aux côtés de son épouse le 31 janvier 1766.
On dit que plus de 1 000 éléphants participèrent à la construction du
Taj Mahal, transportant les blocs de marbre blanc venus du Rajasthan ,
les pierres semi-précieuses comme la turquoise, le lapis-lazuli, la
malachite, les agates, l’onyx, les grenats, venus de toute l’Asie, le
corail de la Mer Rouge ou les pierres précieuses qui furent incrustées
dans la pierre.
Quatre minarets entourent le dôme principal en dessous duquel se
trouve le tombeau de Muntaz Mahal et Shah Jahan. A l’avant du Taj Mahal
on se promène dans les immenses jardins qui s’étendent de part et
d’autre d’un canal qui se termine aux pieds des escaliers montant vers
le mausolée.
Sur la façade du Taj Mahal on remarquera les magnifiques
calligraphies de pierres noires incrustées dans le marbre blanc et qui
illustrent 14 sourates du Coran.
Classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1983, le
Taj Mahal est considéré comme une des sept nouvelles merveilles du
monde.
Le Taj Mahal, au bord de la Yamuna à quelques kilomètres d’Agra, est
un des sites touristiques de l’Inde les plus fréquentés. Ce qui semble
être un merveilleux palais des mille et une nuit est en fait un
mausolée de marbre blanc construit par l’empereur Shah Jahan pour son
épouse Muntaz Mahal.
Fou de douleur à la suite du décès de sa femme le 17 juin 1631 alors
qu’elle donnait le jour à son 14ème enfant, Shah Jahan décida de lui
faire construire la plus belle des sépultures. Pour sa réalisation
l’empereur fit travailler plus de 20 000 ouvriers et fit venir des
artistes d’Europe et d’Asie travaillant sous la direction d’un
architecte de Lahore, Usad Ahmad.
La construction du Taj Mahal aurait duré plus de 10 ans et Shah
Jahan avait prévu de construire un mausolée identique mais en marbre
noir sur la rive opposée de la Yamuna. Mais son fils, voyant les
richesses du trésor impérial fondre à grande vitesse, l’en empêcha et
Shah Jahan fut enterré aux côtés de son épouse le 31 janvier 1766.
On dit que plus de 1 000 éléphants participèrent à la construction du
Taj Mahal, transportant les blocs de marbre blanc venus du Rajasthan ,
les pierres semi-précieuses comme la turquoise, le lapis-lazuli, la
malachite, les agates, l’onyx, les grenats, venus de toute l’Asie, le
corail de la Mer Rouge ou les pierres précieuses qui furent incrustées
dans la pierre.
Quatre minarets entourent le dôme principal en dessous duquel se
trouve le tombeau de Muntaz Mahal et Shah Jahan. A l’avant du Taj Mahal
on se promène dans les immenses jardins qui s’étendent de part et
d’autre d’un canal qui se termine aux pieds des escaliers montant vers
le mausolée.
Sur la façade du Taj Mahal on remarquera les magnifiques
calligraphies de pierres noires incrustées dans le marbre blanc et qui
illustrent 14 sourates du Coran.
Classé au Patrimoine Mondial de l’Humanité par l’UNESCO en 1983, le
Taj Mahal est considéré comme une des sept nouvelles merveilles du
monde.
samuel samhoun- Nombre de messages : 724
loisirs : écrire, marcher,voyager
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Date d'inscription : 22/06/2008
jardin Majorelle Maroc
Un jardin mauresque revisité par Yves Saint Laurent |
| Un jardin au Maroc Le Jardin Majorelle tient son nom de son créateur, Jacques Majorelle. Cet artiste peintre, né à Nancy en 1846 et fils d'un célèbre ébéniste, s'installe à partir de 1919 à Marrakech, au Maroc, et y acquiert un terrain. Pendant de longues années, il collectionnera de nombreuses plantes des cinq continents, et il ouvre son jardin à la visite au public |
Invité- Invité
Re: Les merveilles du Monde
MERCI pour le partage
sauraya ilyas- Nombre de messages : 381
Date d'inscription : 29/10/2010
Re: Les merveilles du Monde
merci pour les jardins...à revoir.
bien à vous
bien à vous
victoralain- Nombre de messages : 416
Date d'inscription : 03/12/2010
Big Ben
Big Ben se situe à Londres en Angleterre au Nord Est de l' Europe .
La cloche pèse 16 tonnes
Elle a été construite en 1097
* elle est une des merveilles : Par sa notoriété.
joakim- Nombre de messages : 238
Date d'inscription : 18/03/2011
Grottes de Yungang
Grottes de Yungang
http://www.insecula.com/musee/M0300.html
Datong (Chine)
Chef d'oeuvre séculaire de l'art rupestre chinois, les grottes de Yungang sont un exemple majeur de cette forme d'art, non seulement pour la Chine mais aussi pour l'humanité tout entière. Elles appartiennent au milieu du Ve siècle et au début du VIe siècle (les premières années du règne de l'empereur Heping et l'ère de l'empereur Zhengguang, de la dynastie des Wei du nord). Le creusement et la sculpture des grottes commencèrent en l'an 460 de notre ère, et se poursuivirent intensivement jusqu'en 490, puis plus épisodiquement jusqu'en 520. Les magnifiques sculptures couvrent une large surface, avec un riche traitement thématique. Les statues présentent le style impérial typique.
Les grottes de Yungang diffèrent des autres grottes sculptées antérieurement en Chine, et se caractérisent par leur intégration aux processus de nationalisation survenant dans toute la Chine, développant un style à part dans l'art rupestre chinois. La kyrielle d'images et d'archives écrites des grottes de Yungang jouent un rôle essentiel dans la démonstration du développement et de l'évolution du style dans l'art rupestre chinois et les croyances religieuses de la Chine du nord au milieu du Ve siècle et au début du VIe siècle après J.-C. Elles ont une valeur historique, artistique et scientifique irremplaçable comparée à d'autres grottes chinoises plus anciennes.
Les grottes de Yungang abritent l'une des plus grandes réserves de statuaire ancienne au monde. Le site compte 252 grottes et niches, plus de 51 000 statues, sur plus de 18 000 m2 de surface sculptée s'étendant sur plus d'un kilomètre. Les grottes sont le plus remarquable témoignage de l'exceptionnelle qualité artistique de l'art de la sculpture dans la Chine bouddhiste dans la seconde moitié du Ve siècle. Diverses grottes contiennent des statues majestueuses, ou des décorations célèbres aux quatre coins du monde pour leurs vifs coloris et leurs thèmes majeurs, voire rares.
Les grottes de Yungang ont énormément contribué à la réforme et au développement de l'art rupestre, du point de vue des lois esthétiques de l'art religieux exprimé par la sculpture. Elles sont un excellent exemple du développement et de l'intégration de l'art bouddhique d'Inde et d'Asie centrale (l'art du Gandhara et de Mathura de l'Inde ancienne) dans l'art bouddhique chinois sur un bref laps de temps, 30 ans. Ces transitions incluent divers aspects de formes, de thèmes et de concepts, reflétant les valeurs esthétiques et éthiques de la culture chinoise. En ce qui concerne leur style artistique, elles révèlent une révolution marquée de la localisation des styles de la statuaire étrangère.
Les grottes de Yungang sont un témoignage particulier de l'incroyable métissage de la nation chinoise au Ve siècle après J.-C., et une représentation exceptionnelle de l'enracinement de l'art bouddhique dans les régions centrales de la Chine. À l'époque, Datong n'était pas seulement l'une des plus grandes métropoles mondiales de l'époque, mais également un noeud où fusionnaient la culture et l'art de l'Inde et d'autres pays d'Asie centrale, et un lieu de métissage des cultures et des arts des divers États des régions occidentales et de ceux des diverses nationalités vivant dans les régions chinoises avec une économie et une culture mieux développées.
Les grottes de Yungang sont les plus belles oeuvres produites pendant la seconde période de prospérité de l'art rupestre bouddhique dans le monde. Les Cinq Grottes, sculptées par Tan Yao, un éminent moine, symbolisant l'empereur Dao Wu, l'empereur Ming Yuan, l'empereur Tai Wu, l'empereur Jingmu et l'empereur Wen Cheng de la dynastie des Wei du nord, s'enorgueillissent de la munificence, de la simplicité et de la vigueur des statues, et représentent, dans la religion, une pensée sur la perpétuité de la loi bouddhique
http://www.insecula.com/musee/M0300.html
Datong (Chine)
Chef d'oeuvre séculaire de l'art rupestre chinois, les grottes de Yungang sont un exemple majeur de cette forme d'art, non seulement pour la Chine mais aussi pour l'humanité tout entière. Elles appartiennent au milieu du Ve siècle et au début du VIe siècle (les premières années du règne de l'empereur Heping et l'ère de l'empereur Zhengguang, de la dynastie des Wei du nord). Le creusement et la sculpture des grottes commencèrent en l'an 460 de notre ère, et se poursuivirent intensivement jusqu'en 490, puis plus épisodiquement jusqu'en 520. Les magnifiques sculptures couvrent une large surface, avec un riche traitement thématique. Les statues présentent le style impérial typique.
Les grottes de Yungang diffèrent des autres grottes sculptées antérieurement en Chine, et se caractérisent par leur intégration aux processus de nationalisation survenant dans toute la Chine, développant un style à part dans l'art rupestre chinois. La kyrielle d'images et d'archives écrites des grottes de Yungang jouent un rôle essentiel dans la démonstration du développement et de l'évolution du style dans l'art rupestre chinois et les croyances religieuses de la Chine du nord au milieu du Ve siècle et au début du VIe siècle après J.-C. Elles ont une valeur historique, artistique et scientifique irremplaçable comparée à d'autres grottes chinoises plus anciennes.
Les grottes de Yungang abritent l'une des plus grandes réserves de statuaire ancienne au monde. Le site compte 252 grottes et niches, plus de 51 000 statues, sur plus de 18 000 m2 de surface sculptée s'étendant sur plus d'un kilomètre. Les grottes sont le plus remarquable témoignage de l'exceptionnelle qualité artistique de l'art de la sculpture dans la Chine bouddhiste dans la seconde moitié du Ve siècle. Diverses grottes contiennent des statues majestueuses, ou des décorations célèbres aux quatre coins du monde pour leurs vifs coloris et leurs thèmes majeurs, voire rares.
Les grottes de Yungang ont énormément contribué à la réforme et au développement de l'art rupestre, du point de vue des lois esthétiques de l'art religieux exprimé par la sculpture. Elles sont un excellent exemple du développement et de l'intégration de l'art bouddhique d'Inde et d'Asie centrale (l'art du Gandhara et de Mathura de l'Inde ancienne) dans l'art bouddhique chinois sur un bref laps de temps, 30 ans. Ces transitions incluent divers aspects de formes, de thèmes et de concepts, reflétant les valeurs esthétiques et éthiques de la culture chinoise. En ce qui concerne leur style artistique, elles révèlent une révolution marquée de la localisation des styles de la statuaire étrangère.
Les grottes de Yungang sont un témoignage particulier de l'incroyable métissage de la nation chinoise au Ve siècle après J.-C., et une représentation exceptionnelle de l'enracinement de l'art bouddhique dans les régions centrales de la Chine. À l'époque, Datong n'était pas seulement l'une des plus grandes métropoles mondiales de l'époque, mais également un noeud où fusionnaient la culture et l'art de l'Inde et d'autres pays d'Asie centrale, et un lieu de métissage des cultures et des arts des divers États des régions occidentales et de ceux des diverses nationalités vivant dans les régions chinoises avec une économie et une culture mieux développées.
Les grottes de Yungang sont les plus belles oeuvres produites pendant la seconde période de prospérité de l'art rupestre bouddhique dans le monde. Les Cinq Grottes, sculptées par Tan Yao, un éminent moine, symbolisant l'empereur Dao Wu, l'empereur Ming Yuan, l'empereur Tai Wu, l'empereur Jingmu et l'empereur Wen Cheng de la dynastie des Wei du nord, s'enorgueillissent de la munificence, de la simplicité et de la vigueur des statues, et représentent, dans la religion, une pensée sur la perpétuité de la loi bouddhique
Mona- Nombre de messages : 574
Date d'inscription : 09/10/2010
Les grottes de Yungang en chine
Les grottes de Yungang, à Datong, province du Shanxi, avec leurs 252 grottes et leurs 51 000 statues, représentent une réussite exceptionnelle de l'art rupestre bouddhique en Chine au Ve et au VIe siècle. Les Cinq Grottes, réalisées par Tan Yao avec une stricte unité du plan et de la conception, sont un chef d'œuvre classique de la première apogée de l'art rupestre bouddhique en Chine.
Autres langues :
Anglais Français Arabe Chinois Russe Espagnol
[Grottes de Yungang] Grottes de Yungang © Ian Whitfield
[Grottes de Yungang]
Justification d'inscription
Critère (i) : L’ensemble de la statuaire des grottes de Yungang est un chef d’œuvre de l’art rupestre bouddhique chinois.
Critère (ii) : L’art rupestre de Yungang représente l’heureux mariage de l’art symbolique religieux bouddhique de l’Asie du sud et de l’Asie centrale et des traditions culturelles chinoises, à partir du Ve siècle de notre ère, sous l’égide impériale.
Critère (iii) : Les grottes de Yungang sont le témoignage vivant de l’étendue et de la force de la foi bouddhiste en Chine.
Critère (iv) : La tradition bouddhique de l’art religieux rupestre s’est pour la première fois véritablement affirmée à Yungang, où elle a développé son caractère et son identité artistique propre.
Description longue
La tradition bouddhique de l'art sacré rupestre a connu sa première expression majeure à Yungang, où il développa sa propre individualité et démontra tout son potentiel artistique. L'art rupestre de Yungang représente une fusion réussie de l'art symbolique religieux bouddhique du Sud et du centre de l'Asie avec les traditions culturelles chinoises, qui débuta au Ve siècle apr. J.-C. sous la protection de l'empereur. Il illustre aussi brillamment la solidité et la permanence des croyances bouddhistes en Chine.
Datong, autrefois connu sous le nom de Pingcheng, devint la capitale de la dynastie des Wei du Nord entre 398 et 494, puis le centre politique, économique et culturel de leur royaume. La ville conserva son importance jusqu'en 523, année où elle fut abandonnée à la suite d'une révolte. Les statues des grottes de Yungang ont été réalisées entre 460 et 525, période qui marque l'apogée du développement de l'art rupestre bouddhique de la dynastie des Wei du Nord. Lorsque le premier empereur monta sur le trône, le bouddhisme s'épanouit et le moine Tan Yao commença, en 460, à sculpter les Cinq Grottes, qui sont ensuite devenues un point de référence majeur pour l'art bouddhique du Nord de la Chine.
En 525, le projet initial, appuyé par la Cour, était presque entièrement terminé, mais des officiers de rang inférieur et des moines continuèrent à creuser des grottes et à y sculpter des statues. Au cours de la dynastie des Liao, des cabanes de bois furent construites face aux grottes, les transformant ainsi en temples, comme les célèbres Dix Temples. En 1122, une guerre détruisit ces temples.
Les grottes de Yungang, connues autrefois sous le nom de grottes de Wuzhoushan, se trouvent au pied des montagnes de Wuzhou, au nord, dans la vallée de la Shi Li, à 16 km à l'ouest de la ville de Datong. Ces 252 grottes de différentes tailles abritent plus de 51 000 statues ; le site, orienté est/ouest, couvre une extension de l'ordre de un kilomètre. Son aménagement a été réalisé au cours de trois principales périodes : période ancienne (460-465), période moyenne (vers 471-494) et période récente (494-525). En dehors des grottes, l'aire centrale classée inclut les vestiges d'un château, un mur défensif et une tour de la dynastie des Ming dans la plaine située au-dessus des grottes. Les grottes de la période ancienne (460-465) comportent cinq cavités principales ; ces salles magnifiques, dans leur simplicité, ont été creusées sous la direction du moine Tan Yao dont elles ont conservé le nom. D'énormes cavités y ont été creusées pour abriter des statues géantes, hautes de 13 à 15 m. Elle présente un plan en U et un plafond voûté qui imite les toits de chaume de l'Inde ancienne. Chaque grotte est dotée d'une porte et d'une fenêtre. Les figures les plus monumentales occupent la partie centrale des grottes, tandis que les parois externes sont creusées de milliers de statues bouddhiques, ce qui est rare dans l'histoire de la tradition chinoise de la sculpture rupestre.
Ces cavités forment le groupe le plus important des grottes de Yungang qui comportent aussi quatre groupes de grottes jumelles et un groupe de grottes triples. Cette période a été marquée par un développement rapide du style han, avec l'introduction de beaucoup de nouveaux thèmes et de combinaisons différentes de statues ; l'attention se déplaça alors vers la création d'images renforçant le sens de la loi, en inaugurant aussi de nouveaux types de décorations. Ces grottes sont de plan carré, et présentent d'ordinaire des salles aussi bien sur le devant que vers l'arrière ; les sculptures des murs sont divisées en bandeaux supérieur et inférieur et en sections droite et gauche ; la plupart d'entre elles présentent des plafonds à caissons. Les murs externes, de part et d'autre, présentent des structures sur deux niveaux, tandis que de hauts monuments occupent la partie centrale de la cour. Les édifices en bois reposent sur des piliers octogonaux dont chacun est sculpté de dizaines de figures de Bouddha. À l'intérieur des grottes, les murs sont couverts de longs panneaux peints divisés en différents niveaux et colonnes. La conception d'ensemble de ces grottes reflète le plan et l'aménagement traditionnel des résidences qui étaient à la mode en Chine au cours de la dynastie des Han.
Les grottes de la période récente (494-525) se trouvent plus à l'ouest, dans la vallée du temple du Roi Dragon. Au total, plus de 200 grottes et niches ont été creusées au cours de cette période. Les grottes sont de taille moyenne ou petite, de formes irrégulières et compliquées. Des décors ont également été sculptés sur la falaise autour des portes des différentes cavités. Cette phase témoigne d'une tendance à simplifier le message délivré par les statues et à les styliser, mais en leur apportant une nouvelle touche de délicatesse et de grâce.
Source : UNESCO/CLT/WHC
Description historique
Datong, connue sous le nom de Pingcheng en des temps plus reculés, est devenue la capitale de la dynastie des Wei du nord entre 398 et 494 après J.-C. et, par-là, le centre politique, économique et culturel de leur royaume. Elle conserve son statut jusqu'en 523, époque à laquelle elle est désertée suite à une révolte. Les statues des grottes de Yungang sont achevées sur une période de 60 ans (460-525 après J.-C.), qui marque l'apogée du développement de l'art rupestre bouddhique de la dynastie des Wei du nord. Quand le premier empereur monte sur le trône, le bouddhisme s'épanouit et, en 460, le moine Tan Yao entame la sculpture des Cinq Grottes ; depuis lors, ces grottes sont devenues le centre de l'art bouddhique en Chine du nord. Entre 471 et 494, le culte du Bouddha se diffuse parmi les membres de la famille impériale et les nobles. Ainsi, 12 grandes grottes et 70 % du nombre total des grottes sont sculptées, et le temple de Chongfu est érigé. En 525 après J.-C., le projet initial, soutenu par la cour, est quasiment achevé, mais des officiels de rang moindre et des moines continuent de sculpter des grottes et des statues. Ces grottes sont plus de 200 et, quoique relativement petites, elles sont pour certaines d'excellente qualité. Sous la dynastie des Liao, des cabanes de bois sont construites en face des grottes, les transformant en temples, tels les célèbres Dix Temples. En 1122 après J.- C., ils furent détruits au cours d'une guerre. Des structures en bois, de quatre étages et cinq pièces chacune, sont bâties en face des grottes 5 et 6, et trois autres de trois étages et trois pièces chacune en face de la grotte 7 en 1651 après J.-C. Depuis la fondation de la République populaire de Chine en 1949, les plus grandes grottes et les structures de bois face à elles (grottes 5, 6 et 7) font toutes l'objet de mesures de conservation. Les grottes sont protégées et ouvertes au public.
Source : évaluation des Organisations consultatives
Najat- Nombre de messages : 1088
Date d'inscription : 14/03/2010
Le Restaurant Fangweng – Chine
Le Restaurant Fangweng – Chine
Le restaurant Fangweng est construit sur le flanc d’une falaise, juste au-dessus de la rivière Yangtze dans la province du Hubei, Chine. L’établissement offre une vue imprenable sur la nature environnante.
Le restaurant Fangweng est construit sur le flanc d’une falaise, juste au-dessus de la rivière Yangtze dans la province du Hubei, Chine. L’établissement offre une vue imprenable sur la nature environnante.
marwa- Nombre de messages : 445
Date d'inscription : 07/05/2010
Le phare Rubjerg Knude
Le phare Rubjerg Knude est situé dans la péninsule du Jutland au Danemark. L’importante érosion et l’avancée inexorable du sable sur le littoral a conduit à l’abandon des bâtiments désormais enfouis dans un desert.
Le phare Rubjerg Knude est inauguré le 27 Décembre 1900 après un an de travaux. D’une hauteur de 60 mètres au-dessus du niveau de la mer, il fonctionne au gaz jusqu’à 1908. Il a cessé de fonctionner le 1 Août 1968. Les bâtiments annexes deviennent alors un musée et une cafétaria. L’ensablement étant trop important, le site est finalement totalement abandonné en 2002. Si le phare résiste bien, les petites maisons sont maintenant partiellement enfouies sous les dunes et disparaissent petit à petit.
Le phare Rubjerg Knude est inauguré le 27 Décembre 1900 après un an de travaux. D’une hauteur de 60 mètres au-dessus du niveau de la mer, il fonctionne au gaz jusqu’à 1908. Il a cessé de fonctionner le 1 Août 1968. Les bâtiments annexes deviennent alors un musée et une cafétaria. L’ensablement étant trop important, le site est finalement totalement abandonné en 2002. Si le phare résiste bien, les petites maisons sont maintenant partiellement enfouies sous les dunes et disparaissent petit à petit.
marwa- Nombre de messages : 445
Date d'inscription : 07/05/2010
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