le noir se noue
se dénoue
en remous
son écho se moud
se multiplie comme une larme
silencieuse
comme ton absence
si dense
où danse le reproche
qui approche l'qmer
en mer
au cœur du cœur
qui s’écœure de sa solitude
son lit en lengitude
long gît d'orties
tue les palpitations
qui, pâles, pitoyantes
épient le ton de ton pas
qui ne vient pas