Bien du temps a passé

benino a écrit:merveilleusement romantique
merci du partage

benino

arkel0 a écrit:hello isis,
je ne peux que répéter ce qu'a dit benino
,
bernard

Admin a écrit:souvenirs en anaphore...
quand les veines sont contaminées par le désir
il est difficile d'en oublier les frissons
même l'absence ne fane pas la mémoire
les sens soupirent et délirent
les larmes et la douleur crient à l'unisson...

au plaisir du partage ...

j-p-olivier a écrit:Les douleurs s'expriment ; et se soulage par le partage.

benjamin-j-m a écrit:parfois le temps passe mais la douleur tel un cactus refuse de faner

rychar a écrit:Douleur et douceur romantiques....
Le temps passe et n'efface jamais les empreintes de la mémoire...

celui qui sait a écrit:Les souvenirs marquent à jamais notre histoire,
Comme de doux rappels au fond de ma mémoire,
L'ombre furtive d'un passé point encore trépassé,
Car tu es en mon âme cet Amour à jamais enchâssé.

Un magnifique écrit Miss.Bise.

Valerie-M-kaya a écrit:toute plaie du cœur garde une trace dans l'esprit..
merci pour le partage.

amina chami a écrit:En le corps tremblant, sinistres souvenirs
Il sent le pas pesant, de la douleur
La résonance sourde dans la mémoire
Cadence les battements qui agitent le coeur.

sympatique a écrit:
BELLE DESCRIPTION DE CETTE PLAGE NOSTALGIQUE

benino a écrit:en relecture....

isis a écrit:

Bien du temps a passé

Bien du temps a passé, pourtant rien n’a changé,
Sur cette jolie plage, abritée par les dunes.
Il me semble y revoir nos deux corps allongés,
Et tes mains affamées caressant ma peau brune.

Bien du temps a passé, mais la mer est la même,
Celle qui ondoyait sous ses reflets d'azur,
Quand les vagues venaient écouter nos "je t'aime",
Et que je me noyais dans ton regard si pur.

Bien du temps a passé, ponctué d'arcs-en-ciel,
Et les embruns sont là, promenés par la brise,
Comme quand nos baisers avaient un goût de sel,
Prémices des douceurs, que l'on trouvait exquises.

Bien du temps a passé, tout est resté pareil,
Mais la mer sur le sable efface les empreintes,
Et mon corps, un peu las, doré par le soleil,
Ne connaît plus l'émoi de nos tendres étreintes.

Bien du temps a passé, un jour tu m’as quittée,
Puis la faucheuse a su t'enfermer dans sa cage,
Et moi je continue à venir chaque été,
Rides au coin des yeux, pleurer sur cette plage.

Bien du temps a passé, pourtant rien n’a changé,
Sur cette jolie plage, abritée par les dunes.
Il me semble y revoir nos deux corps allongés,
Et tes mains affamées caressant ma peau brune...

Isis